Guérir, ça s’apprend. Et ce n’est pas parce que le traitement médical est terminé, que le chemin du patient est terminé. Nous allons suivre quatre personnes que la maladie a marqué, et qui doivent désormais composer avec une nouvelle identité : celle de personne ayant guéri.

Il existe des guérisons extraordinaires qui surprennent même le corps médical. Elles représentent des miracles individuels pour les patients, mais elles intéressent aussi la recherche qui y voit l’espoir de nouveaux traitements.

La fraude scientifique ne cesse d’augmenter, mettant en péril l’avancée des connaissances. Mais des détectives veillent. Et ils sont toujours plus nombreux. Scientifiques révoltés par le plagiat ou la manipulation de données, ils donnent bénévolement leur temps et leur énergie à la « dépollution « de la littérature scientifique, à leurs risques et périls. De la Suisse à la Californie, 36.9° les a rencontrés.

Peut-on, rien qu’en marchant plus et en renonçant à l’ascenseur, avoir des bénéfices sur sa santé ? C’est le défi que 36.9° a décidé de lancer à 6 romands de nature sédentaire. Expérience de 6 mois avec un bilan de santé au début et à la fin de l’expérience.

En Suisse, on aime le travail. Ou faudrait-il plutôt dire, les entreprises ? Derrière la pression du rendement les travailleuses et travailleurs souffrent. Ils souffrent au point de tomber malade, parfois, très gravement.

Braver la mort pour sauver des vies. Le personnel de santé ukrainien mène une lutte quotidienne pour secourir et soigner des milliers de blessés dans des conditions extrêmes. On appelle cela, la médecine de guerre.

Sur le marché de la perte de poids, un nouveau médicament a débarqué et fait fureur sur les réseaux sociaux : les analogues du GLP-1. Mais les médecins tirent la sonnette d’alarme, ces molécules ne sont pas une baguette magique, elles nécessitent un encadrement multidisciplinaire.

Des enfants atteint d’une maladie rare mortelle peuvent être sauvés par des médicaments parmi les plus chers du monde. Plus de 2 millions pour une injection. Mais seuls les bébés dont l’assurance paye et ceux dont les parents trouvent l’argent pourront survivre. Les autres mourront.