Le magazine d’actualité qui donne la parole aux experts et aux téléspectateurs chaque soir du lundi au samedi sur France 5 et en direct.
Nos experts :
- Laurence HAIM - Journaliste, ancienne correspondante aux États-Unis - Auteure de « Ghislaine Maxwell, une femme amoureuse »
- Lucas MENGET - Grand reporter
- Jean-Bernard CADIER - Journaliste, ancien correspondant aux Etats-Unis - Auteur de « Néron à la Maison Blanche »
- Anne TOULOUSE - Journaliste franco-américaine - Auteure de « L’art de trumper »
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Claire Hédon s'exprimera au sujet des révélations concernant l'enfant tondu par des éducateurs d'un foyer parisien accueillant des mineurs placés par l'Aide sociale à l'enfance. Des faits dont elle s'est autosaisie, dénonçant une "situation épouvantable".
Les employés en cause ont filmé la scène et l'ont diffusée sur un groupe WhatsApp d'éducateurs. On y voit l'enfant, âgé de 8 ans, torse nu, assis sur une chaise les bras croisés, se faire raser la tête. Hier soir, sa mère a porté plainte pour violences volontaires. Selon la Ville de Paris, ces faits "gravissimes" se sont déroulés en février 2025.
L’avocat de la famille, Axel Delaunay-Belleville, s’étonne que la collectivité n’ait communiqué que mardi alors qu’elle était informée « depuis septembre », affirme-t-il. « Quand la Mairie de Paris pond un communiqué mardi matin en expliquant qu’ils mènent des investigations… enfin on est en décembre ! C’est du sauve-qui-peut », déplore pour sa part l’avocat de la famille, Axel Delaunay-Belleville.
De son côté, le parquet de Paris a annoncé mardi avoir ouvert une enquête pour violences volontaires sur mineur de moins de 15 ans par personne ayant autorité, et une inspection administrative est en cours dans les locaux du foyer parisien, a indiqué la ville de Paris.
La diffusion de cette vidéo illustre une fois encore les dysfonctionnements de l'Aide sociale à l'enfance, dont plus de 380 000 jeunes bénéficient de ses mesures. Fin janvier, la décision-cadre de la Défenseure des droits relative à la protection de l'enfance alertait sur la situation, de même que le rapport Santiago en avril 2025.
Un sujet dont se saisissent également les parlementaires puisqu'une proposition de loi visant à assurer le droit de chaque mineur placé à disposer d’un avocat a été adoptée à l'unanilité par les députés le 12 décembre dernier. Elle doit maintenant être examiné au Sénat.
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Donald Trump ne parvient pas à se sortir de l'affaire Epstein. Suite à une loi signée par le président américain, un juge fédéral a ordonné mercredi, et pour la troisième fois en quelques jours, la levée du secret sur des documents judiciaires relatifs à l'affaire du criminel sexuel Jeffrey Epstein. Les révélations pourraient avoir lieu d’ici au 19 décembre, date butoir fixée par la loi.
Après avoir dévoilé il y a peu les photos de la résidence de Jeffrey Epstein à Little Saint James, l’île privée des Caraïbes où il aurait organisé son trafic sexuel, des élus démocrates ont rendu publiques cette nuit de nouvelles photos. Donald Trump apparaît sur plusieurs d’entre-elles. La pression est maximale sur le locataire de la Maison-Blanche. D'autant que son comportement interroge. Alors qu’il avait estimé durant sa campagne qu'il fallait faire toute la lumière sur ce dossier, il a semblé vouloir tout faire pour étouffer l'affaire une fois revenu au pouvoir.
L’affaire Epstein n’est pas la seule à agiter l’actualité américaine. La bataille entre Netflix et la Paramount pour racheter le géant du divertissement Warner Bros Discovery fait elle aussi les gros titres outre-Atlantique.
Entre Netflix, le champion mondial du streaming, et la Warner, l’affaire semblait entendue. Mais la Paramount a contre-attaqué, avec une offre à 108 milliards de dollars. L'entreprise est dirigée par David Ellison, le fils du milliardaire Larry Ellison, proche de Donald Trump. L'affaire prend donc un tour politique. D'autant que l'offre comprend le rachat de la branche média de la Warner, propriétaire de la chaine de télévision CNN. Donald Trump accuse depuis longtemps cette chaine de servir ses opposants démocrates et d’être un « ennemi du peuple ». Un changement de propriétaire et de ligne éditoriale ne serait pas pour lui déplaire. S'il se défend de toute ingérence dans ce dossier, il argue que Netflix, pour des raisons juridiques anti-trust, ne pourrait peut-être pas racheter la Warner.
Le président américain n'est pas la seule personnalité au cœur du scandale Epstein. Andrew, le frère de l'actuel roi Charles III, était également très proche du criminel sexuel. Virginia Giuffre, principale plaignante de l’affaire Jeffrey Epstein, avait pris la parole pour expliquer qu'Andrew l'avait violé. Andrew a depuis été déchu de son titre de prince et s'est vu retirer toutes les distinctions honorifiques liées à celui-ci.
Que savait Donald Trump des crimes de Jeffrey Epstein ?
Comment le président américain compte-t-il peser dans le rachat de la Warner ?
Combien de personnalités ont-elles été impliquées dans les crimes de Jeffrey Epstein ?
Nos experts :
- Laurence HAIM - Journaliste, ancienne correspondante aux États-Unis - Auteure de « Ghislaine Maxwell, une femme amoureuse »
- Lucas MENGET - Grand reporter
- Jean-Bernard CADIER - Journaliste, ancien correspondant aux Etats-Unis - Auteur de « Néron à la Maison Blanche »
- Anne TOULOUSE - Journaliste franco-américaine - Auteure de « L’art de trumper »
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Après La Panthère des neiges, le photographe Vincent Munier aborde la transmission, entre son père, son fils, lui-même et le spectateur, de l’observation de la nature. Il détaille ce travail contemplatif et revendique «un militantisme en douceur».
"La nature n’est pas un spectacle, c’est une vie partagée". C’est une des dernières phrases qu’on saisit dans le Chant des forêts. Le deuxième documentaire de Vincent Munier est une immersion profonde au cœur des Vosges, et de sa forêt...A la recherche des animaux sauvages.
Si les populations d'espèces sauvages sont en hausse en France selon un récent rapport du WWF, il y a de quoi s'inquiéter pour certaines d'entre elles, dont le lynx. Montrer la nature pour la protéger, c'est la démarche de notre invité.
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Nos experts :
- Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction L’Usine Nouvelle
- Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste La Tribune Dimanche
- Géraldine HOUDAYER - Rédactrice en chef adjointe de la rédaction numérique ICI, spécialiste de la consommation
- Olivia DETROYAT - Journaliste économique Le Figaro, spécialiste de la grande distribution
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Le budget de Noël risque de manquer pour cette fin d’année 2025. Face à l’instabilité budgétaire et économique, les Français se montrent plus frileux que d’habitude sur les achats des fêtes de fin d’année. En effet, selon une étude réalisée par CSA Research pour Cofidis, les Français vont consacrer 491 euros en moyenne. Un chiffre au plus bas depuis 2017.
Le budget consacré par les Français aux fêtes de Noël va baisser de 7,5% par rapport à 2024, soit 38 euros de moins et de 11% par rapport à 2023, soit 59 euros de moins.
Les fêtes de Noël vont peser lourd dans le porte-monnaie. Selon une enquête réalisée par Flashs pour Ymanci, plus de 4 Français sur 10 (41%) n’ont pas les liquidités suffisantes pour financer leurs cadeaux de Noël. Ces derniers vont s'orienter vers trois options : débloquer tout ou partie de leur épargne, s'endetter via un découvert autorisé, un crédit ou un paiement échelonné.
Plus surprenant encore, 56% des Français interrogés paieront encore les conséquences de leurs achats de Noël en mars ou avril 2026.
Un nouveau coup dur est à venir dans le portefeuille des Français. Une flambée des cotisations des mutuelles se profile. Après une hausse de 6% en 2025, les tarifs des complémentaires santé devraient à nouveau grimper pour les particuliers en 2026, entre 3,4 et 8% selon les contrats. Mais les experts anticipent déjà un rattrapage dès 2027. Une énième hausse est attendue en raison de l’instauration d’une taxe sur les mutuelles. En effet, un milliard d’euros figure au projet de loi de financement de la Sécurité sociale adopté lundi dernier par l’Assemblée nationale.
Coup de projecteur sur le budget "courses" de 2026. Depuis le 1er décembre, jusqu’au 1er mars, les négociations commerciales entre la grande distribution et l'industrie agroalimentaire ont commencé. Un rendez-vous souvent marqué par d’importantes tensions. Cette année, la baisse des prix de certaines matières premières est attendue. On en parlera avec Thierry Cotillard, patron du Groupement Mousquetaires/Intermarché.
Quel budget pour les Français en cette fin d’année ? Avec la taxe sur les mutuelles, votre cotisation va-t-elle augmenter ? Alors que les négociations commerciales entre l'industrie agro-alimentaire et les distributeurs ont commencé, peut-on espérer une baisse des prix ?
Nos experts :
- Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction L’Usine Nouvelle
- Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste La Tribune Dimanche
- Géraldine HOUDAYER - Rédactrice en chef adjointe de la rédaction numérique ICI, spécialiste de la consommation
- Olivia DETROYAT - Journaliste économique Le Figaro, spécialiste de la grande distribution
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La dette..."Tout le monde en connaît l’existence (...) Il s’agit d’un crédit à la consommation, et non d’un investissement dans le futur de la France ou dans sa défense contre des ennemis. Elle paie les factures mensuelles de millions de nos concitoyens", écrit Nicolas Duforucq. Dans "La Dette sociale de la France", le directeur général de la Banque publique d'investissement (BPI), décrit notre société vieillissante, et les défis qu'elle doit relever pour surmonter ses peurs. Il revient aussi sur 50 ans de hausse de la dette. Alors que nous fêtons les 80 ans de la Sécurité sociale, il relate comment le pays en est arrivé là, et quelles mesures il faudrait prendre, selon lui, pour sauver notre système social, et protéger les générations futures.
Nicolas Dufourcq reviendra également avec nous sur l'adoption mardi du budget de la Sécu. Un ouf de soulagement pour le Premier ministre Sébastien Lecornu, mais quelles conséquences pour les milieux économiques ? Et sur la dette ?
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Nos experts :
- James ANDRÉ - Grand reporter – France 24
- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie
- Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux
- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l’ONU, auteur de D’un monde à l’autre
- Marion VAN RENTERGHEM ( en duplex) - Grand reporter, chroniqueuse - L’Express, auteure de Le piège Nord Stream
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Une proposition concernant des concessions territoriales ukrainiennes dans le cadre d'un plan pour mettre fin à la guerre en Ukraine a été soumise à Donald Trump, a annoncé ce jeudi 11 décembre le chancelier allemand Friedrich Merz. Le président américain s’était montré ces derniers jours particulièrement critique envers les dirigeants ukrainiens et même européens. Hier, il a déclaré avoir eu des "mots assez forts" pendant son entretien un peu plus tôt avec le président de la République, le Premier ministre britannique et le chancelier allemand.
"Ils aimeraient que nous participions à une réunion en Europe ce week-end. Nous allons prendre une décision en fonction de ce qu’ils nous diront. Nous ne voulons pas perdre notre temps", a ensuite affirmé Donald Trump, ajoutant : "Avant d’aller à une réunion, il y a des choses que nous voulons savoir". Mardi, dans une interview accordée au média en ligne Politico, quelques jours après la publication de la Stratégie de sécurité nationale américaine, Donald Trump a également redoublé de critiques contre des dirigeants politiques européens qu’il juge faibles et une Europe déclinante ; contre l’Ukraine, qui n’a selon lui aucune chance car la Russie est la plus grande, et un Zelensky "perdant" accusé d’"utiliser la guerre" pour ne pas remettre en jeu son mandat.
Visé par de nouveaux propos acerbes de Donald Trump, le président ukrainien avait assuré mardi être "prêt" à organiser une élection présidentielle en Ukraine, mais pas dans n’importe quelles conditions. "Je demande maintenant (...) aux États-Unis de m'aider, avec nos partenaires européens, à garantir la sécurité nécessaire pour la tenue d'élections. Si cela se produit, l'Ukraine sera prête à organiser des élections dans les 60 à 90 prochains jours", a-t-il assuré. Avec cette déclaration, Volodymyr Zelensky renvoie la balle aux Américains, qui ont échoué à obtenir un cessez-le-feu malgré des mois de négociations avec la Russie.
Pour l’heure, la guerre se poursuit et l'Ukraine a lancé ce jeudi une importante attaque aérienne sur Moscou et plusieurs régions de Russie. En mer Noire, un pétrolier russe de sa flotte fantôme a également été touché hier par un drone ukrainien. Le secteur énergétique russe, poumon économique du pays, est sous la pression des sanctions occidentales visant à assécher le financement de la guerre menée par Moscou et de l’intensification, depuis cet été, des frappes ukrainiennes qui visent ses raffineries et infrastructures d’hydrocarbures. Selon l’AIE, les revenus pétroliers du pays sont tombés à leur plus bas niveau depuis 2020.
Alors, où en sont les discussions sur un plan de paix en Ukraine ? Pourquoi Donald Trump multiplie-t-il les critiques envers l’Europe ? Faut-il craindre des ingérences étrangères lors des prochaines élections en France ? Enfin, que faut-il retenir du débat et du vote sur la défense nationale qui se sont déroulés hier à l’Assemblée ?
Nos experts :
- James ANDRÉ - Grand reporter – France 24
- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie
- Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux
- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l’ONU, auteur de D’un monde à l’autre
- Marion VAN RENTERGHEM ( en duplex) - Grand reporter, chroniqueuse - L’Express, auteure de Le piège Nord Stream
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Sébastien Lecornu a salué l'adoption hier du budget de la Sécurité sociale en nouvelle lecture à l'Assemblée, "après un débat exigeant, sans 49.3" et grâce à une "majorité de responsabilité" qui "montre que le compromis n’est pas un slogan". Il a "remercié" les députés qui soutiennent son gouvernement et ont voté le texte "parfois éloigné de leurs propres convictions", alors que les députés Horizons se sont majoritairement abstenus, ne soutenant pas la suspension de la réforme des retraites concédée aux socialistes, ainsi que les Républicains bien que plus partagés.
Les députés ont donc voté ce mardi pour le budget de la Sécurité sociale, à 13 voix près, offrant un soulagement certain au gouvernement. De son côté, le Projet de loi de finances (PLF), rejeté à l’Assemblée nationale le 21 novembre, est encore en discussion au Sénat. La France a un budget 2026, ou presque. L'Assemblée nationale a voté la partie dépenses du Projet de loi de finances de la Sécurité sociale (PLFSS) par treize voix d'écart. Cela devrait se traduire par un déficit de la "Sécu" limité à 19,6 milliards d'euros en 2026. Parmi les mesures phares du projet, il y a effectivement la suspension de la réforme des retraites, le congé de naissance, qui sert l'objectif de "réarmement démographique" d'Emmanuel Macron, ou encore une surtaxe exceptionnelle sur les mutuelles.
Dans une récente tribune aux Echos, Michel Barnier avait indiqué qu'il ne voterait pas ce budget. "On ne doit jamais marchander l'équilibre et la pérennité de notre modèle social au prix de petits calculs politiques irresponsables et de courte vue", estime-t-il. "L'esprit de compromis ne doit pas conduire à tout céder, à tout brader", a-t-il ajouté. Dans C dans l'air l'invité, il réagira au vote du budget de la Sécurité sociale, survenu hier soir à l'Assemblée.
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Nos experts :
- Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF
- Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos
- Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche
- Sylvie PIERRE BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
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