Comprendre, explorer et reprogrammer son cerveau avec l'hypnose
Se reconvertir, ou même trouver un premier métier… Beaucoup de gens sont perdus : ne sachant pas ce qu’ils veulent, n’attendant pas un « appel », ne voulant pas se contenter d’un savoir-faire mais cherchant un sens à leur vie professionnelle, il peut être difficile de trouver et choisir sa voie !
Aujourd’hui je vous parle de mon parcours un peu chaotique et je vous propose 5 questions à vous poser pour y voir plus clair
Recherches utilisées pour trouver cet articleTrouver un sens a sa vie par lhypnose,auto hypnose pour trouver sa voie,comment trouver sa voie professionnelle dans la vie,https://super-pouvoirs-pour-tous com/vie-professionnelle-comment-trouver-sa-voie/,hypnose pour trouver sa voie professionnelle language:FR,Hypnose trouver sa voie,trouver sa voie à travers la méditation,trouver sa voie par lhypnose,trouver sa voie professionnelle avec lhypnose
Comme vous l’avez sûrement déjà remarqué, je ne suis pas allée jusqu’au bout de ce défi. Pourquoi, je vous explique ça dans cet article !
Bon en tout cas, voici les 4 dernières vidéos du défi, il n’est pas exclu que je le termine à un autre moment, donc comme je n’avais plus trop d’idées à la fin et même si quelques uns d’entre vous m’ont déjà soumis de nouvelles questions, n’hésitez pas à poster les votres en commentaires !
Voilà ! N’hésitez pas à me donner votre avis sur tout ça, ça m’aidera à vous faire du meilleur contenu
A bientôt !
Voici la deuxième tournée de mon défi 30 jours d’hypnose, soit 10 nouvelles vidéos sur les questions fréquentes et idées reçues, si d’autres questions vous viennent, pensez à me les poster en commentaire
Les versions texte arriveront peut-être plus tard, ça prend beaucoup de temps en plus… :/
Les gens ayant vécu des traumatismes peuvent chercher à se souvenir de ce qu’ils ont vécu pour éventuellement appuyer une procédure judiciaire ou tout simplement pensent que s’en souvenir, quand ils l’ont oublié, leur permettra de comprendre et/ou mieux digérer leurs émotions. Qu’en est-il vraiment ?
Qu’est-ce qui fait la réussite d’une séance ?
Maux de tête, psoriasis, cancers… L’hypnose peut-être vous aider à guérir ?
Précision car je n’en parle pas dans la vidéo : avec l’hypnose et des visualisations, vous pouvez réellement aider le corps à se remettre d’une blessure, à se reconstruire.
Aller fouiller dans son inconscient ohlala, qu’est-ce qu’on va y retrouver ? Va-t’on voir resurgir des souvenirs enfouis pour de bonnes raisons et retourner en enfer ?
« DORMEZ MAINTENANT », on ferme les yeux et le corps se relâche. Dort-on vraiment ? Est-ce qu’on se souvient de tout à la fin ?
Crainte numéro 1 en hypnose : perdre le contrôle. Allez-vous devenir fou et ingérable, et laisser votre inconscient faire n’importe quoi de votre personne abandonnée à elle même et sans aucun pouvoir ?
Peut-on sous-tirer à un personne son numéro de carte bleue, ses préférences sexuelles ou ses fautes impardonnables ?
Votre problème peut-il revenir ?
Voilà pour cette nouvelle série, à bientôt
Recherches utilisées pour trouver cet articletélécharger guide pour être hypnotiseurLe 1er Janvier commençait 2017 et avec ça, mon défi 30 jours d’hypnose en vidéo, pour aborder les idées reçues et questions fréquentes sur le sujet.
Voici donc la première partie regroupée dans cet article, soit les 10 premières vidéos L’ensemble est également disponible en podcast ci-dessus, eh oui on y revient !
La retranscription texte n’est en revanche pas disponible (pour l’instant), compte tenu du travail que représente ce défi…! (et réécrire, c’est très long et très chiant)
Mon premier article Hypnose et Auto-hypnose, qu’est-ce que c’est ?
Livre La voix de l’inconscient par Jean Emmanuel Combe de Street Hypnose
Blog Apprendre l’hypnose de Maximilien
Les 4 ingrédients de base de vos super-pouvoirs
Mon article à lire ou écouter Hypnose, méditation, pleine conscience… Quelles différences ?
Débutez votre pratique de la méditation simplement avec mon audio spécial débutants
Pour aller plus loin, ma vidéo Arrêter de fumer avec l’hypnose, comment ça marche ?
Méditation : 4 astuces pour couper le mental
Les 7 étapes pour passer à autre chose
Comment lâcher prise et pardonner avec l’hypnose
Téléchargez votre pack auto-hypnose et ses mp3 gratuits
J’espère que cette première tournée vous a plu, n’hésitez pas à la partager et à me poser vos questions pour la suite du défi
Mimis.
Recherches utilisées pour trouver cet articlepodcast hypnose gratuit
Développez votre capacité à faire face aux changements pour être plus heureux!
Cet article est une contribution au laboratoire d’idées « Vers un monde meilleur ». Ses membres publient une fois par mois un article sur un thème commun. Ce mois-ci, le thème est « Faire face aux changements », proposé par Carole du blog Adolescence Positive et son article « Cinq clés pour comprendre et gérer le changement de rythme de sommeil à l’adolescence »
Retranscription texte de la vidéo à venir très vite!
Recherches utilisées pour trouver cet articlehttps://super-pouvoirs-pour-tous com/10-astuces-pour-etre-plus-flexible-desprit/,comment devenir plus flexible mentalement,comment avoir l\esprit souple?,comment avoir une esprit et flexible,esprit flexibleOn va déjà parler de deux sortes de changement : ceux qu’on choisit, et ceux qu’on subit. Aujourd’hui on va s’intéresser aux premiers.
Quand on m’appelle pour prendre rendez-vous, on me demande souvent combien de séances vont être nécessaires. Je ne peux jamais répondre à cette question, je n’ai aucun moyen de le savoir. Il y a plusieurs raisons à cela, par exemple :
* on peut changer en une séance, c’est vrai et c’est forcément arrangeant en temps et en argent. Mais au risque de me répéter un hypnotiseur n’est pas un magicien, et si ça vous ennuie de prendre plusieurs séances, revoyez votre rapport au changement et à l’hypnotiseur lui-même Le magicien c’est vous! Vous ne le saviez pas? C’est pour ça que ce blog existe, pour vous aider à prendre conscience de vos possibilités et que vous appreniez à vous en servir et à incarner qui vous êtes, au fond.
Ces stades ont été établis à partir des études des auteurs du livre « Changing for Good » qui parlent essentiellement des problématiques d’addiction mais après tout, voyez comment ça vous parle à vous si vous n’êtes pas concerné.e !
Je vous mets des pistes pour passer d’une étape à l’autre mais n’hésitez pas à aller voir un thérapeute pour mettre toutes les chances de votre côté et tout prendre en compte, ça vous facilitera vraiment la vie.
Aussi, vous pouvez lire cet article par rapport à vos objectifs, mais aussi pour mieux comprendre dans quelle situation se trouvent vos proches.
A cette première étape, vous ne voyez pas où est le problème, vous êtes dans le déni. Vous trouvez votre entourage pénible à vous faire la morale et à toujours vous rabâcher qu’il faudrait peut-être se secouer un peu, vous ça va et vous n’envisagez pas de changer. Le problème c’est les autres.
Exemples : je fume dans un espace non-fumeur, faut bien mourir de quelque chose, tu exagères, c’est bon j’ai bu deux verres là ça va…
Comment se débloquer : si on peut comprendre qu’il est de la responsabilité d’un parent d’avertir son enfant sur les conséquences de la cigarette ou autre, combien de fois un ado a déjà écouté ses parents et arrêté de fumer sur leurs conseils? Combien de conflits perdurent à cause de ça?
Ce déblocage se fait tout seul ou ne se fait pas, en fait. On ne peut pas forcer quelqu’un à changer. Tant pis tant mieux selon le point de vue.
A ce stade, on voit rarement les gens en thérapie ou alors pour faire plaisir à leurs proches ; ça ne marchera pas. Moi je dis aux gens de revenir me voir quand ils seront motivés.
Ici vous avez conscience du problème mais vous ne faites rien, vous pesez les avantages et inconvénients, vous repoussez l’idée de prendre un rendez-vous.
Exemples : je sais que fumer est mauvais pour ma santé… et voilà. J’aimerais bien faire un autre métier mais bon… Mon mec est un peu con des fois mais au moins j’ai un mec, il est sympa aussi.
C’est l’étape du fainéant passif. Vous n’êtes pas prêt.e à passer à l’action, vous aimeriez bien que ça se fasse tout seul donc vous allez voir un hypnotiseur pour une séance. Ou alors vous essayez mais vous manquez de stratégie, vous voulez passer du tout au rien, et comme ça marche rarement, vous concluez que vous ne pouvez pas changer de toute façon.
Comment se débloquer : là vous avez besoin de motivation quoi. Je vous renvoie aux articles suivants qui peuvent vous aider à mettre les choses au clair :
– déterminer votre objectif
– la pyramide des solutions
– LA question à se poser pour être heureux
Les exercices proposés dans ces articles vous permettront de mettre l’accent sur les bénéfices que vous allez tirer de votre changement, de trouver des leviers émotionnels, et construire ce que votre objectif va vraiment donner une fois atteint, mais j’insiste un peu ; vous vous garantissez plus et de meilleurs résultats avec un.e praticien.ne. (valable pour toutes les étapes ok?)
Là vous êtes déterminé.e à faire bouger les choses et vous commencez à vous prendre en main. Pas trop, mais c’est un début.
Vous avez un bon aperçu de ce que ça peut donner, vous savez pourquoi c’est important de le faire, tout ça a assez duré et vous vous engagez en en parlant autour de vous. Du coup vous commencez à faire quelques plans, à voir ce que vous pouvez mettre en place.
Exemples : j’ai décidé d’arrêter de boire seul.e, je me suis acheté un tapis de yoga, je cherche quelque clope dans ma journée serait plus facile à supprimer.
Comment se débloquer : je reviens sur l’article pour déterminer son objectif cité juste avant, là vous aller établir une sorte de plan d’action histoire de vous donner une direction que vous suivrez étape par étape, sans en brûler. Pas besoin d’un truc psychorigide et vous y allez à votre rythme, mais ça vous épargnera les digressions et remises en question du processus dans le temps.
Ca va être le moment de faire table rase, pour dire au revoir à certaines choses et bonjour à d’autres, comme des idées et des comportements, histoire de partir sur une bonne nouvelle base.
Briefez votre entourage pour être encourageant et pas vous flinguer dès que vous faites un truc qui ne concorde pas avec votre décision. « T’as dit que t’arrêtais de boire et là tu viens de prendre un verre hey », oui, merci, mais vous avez juste décidé là, et changer ça peut demander du temps ; la pression sociale c’est quitte ou double, donc soyez clair là dessus avec vos proches et dites-leur l’attitude que vous attendez de leur part pour que ça vous soutienne au lieu de vous ramener chaque micro-échec à la gueule, valable pour l’étape d’après aussi.
Vous avez commencé à concrétiser votre plan, vous vous êtes lancé.e dans la première étape! La première étape ça veut dire que ce n’est pas parce que vous vous bougez que c’est gagné, vous allez devoir persévérer pour faire les suivantes. Vous avez donc un risque de « rechuter » mais entourez-vous bien pour être encouragé à rester sur cette pente ascendante.
Exemples : je vais au sport, j’ai commencé le programme nutritionnel de la diététicienne, je fais 5 minutes de méditation de le matin.
Là vous bossez, vous mettez les mains dans le cambouis donc c’est un peu challenge mais si jamais vous ne voyez pas de résultat immédiat, il y a de fortes chances pour que vous regagniez déjà en estime de vous, et ça va continuer. Musclez-vous
Pour se débloquer : il n’y a pas vraiment de blocage dans ce stade, il s’agît plus de persévérance justement.
Alliez corps et esprit en faisant de l’exercice, le sport n’est pas qu’un truc de sportif, et c’est moi qui vous le dis. Lisez et appliquez des livres de développement personnel pour alimenter un état d’esprit positif et dynamique, consacrez-vous à une activité qui vous plaît, rien qu’à vous.
Mettez-vous au Miracle Morning! C’est génial, je m’y suis remise et ça booste vraiment ; l’idée est de se lever plus tôt que d’habitude pour se consacrer à une routine de bien-être personnel. Vite fait parce que j’en reparlerai plus tard, moi je prends deux heures coolos pour méditer, faire du sport, manger etc. Franchement les jours où je ne le fais pas je le regrette.
Pensez à vous poser de temps en temps pour vous féliciter du chemin parcouru! Avec des amis une année on a fait un groupe Facebook (« le groupe des supers ») où tous les mois on faisait le bilan de ce qu’on avait fait de chouette dans le mois, et de ce qu’on voulait qu’il se passe le mois d’après. C’est vraiment stimulant et plaisant, et je regrette qu’on ait arrêté, je vais réfléchir à une manière de le refaire. Ca vous plairait?
Vous n’êtes pas encore à l’abri de revenir en arrière, de rechuter, mais votre persévérance porte ses fruits.
Exemples : vous n’avez pas fumé depuis 5 mois, vous avez repris de bonnes habitudes alimentaires… même si c’est parfois un peu fragile!
Le succès et le changement ne sont pas linéaires, donc pas la peine de se flageller quand ça bat un peu de l’aile, de toute façon l’auto-flagellation fait partie des 4 poisons à arrêter de s’enfiler.
Comment se débloquer : faire le point sur ce qu’il reste à faire, sur les effort accomplis, les émotions que tout ça a suscité, et ajuster son plan d’action en fonction de tout ça.
Bravo! Vous voilà tiré.e d’affaire!
Exemples ; vous avez beau être entouré.e de fumeurs ou de picoleurs en soirée, pas la moindre envie, vous n’y pensez même plus.
Tout ce que vous avez mis en place est devenu automatique et ne vous demande plus d’effort et vous avez confiance en vous.
Célébrez, et passez au changement d’après
***
Si vous faites appel à un praticien, n’hésitez pas à prendre une longueur d’avance en commençant votre apprentissage de l’auto-hypnose en téléchargeant mon guide et ses mp3 juste en bas de la page (et un peu partout ailleurs)
Dites-moi dans les commentaires ce que vous pensez d’un petit groupe pour faire son bilan tous les mois et se motiver, et j’espère que cet article vous aura permis de comprendre un peu mieux comment ça se passe pour mieux établir vos plans d’action!
A très vite, je publie moins régulièrement en ce moment parce que c’est un peu la course de mon côté mais je garde le cap
Bisous!
Recherches utilisées pour trouver cet articlehttps://super-pouvoirs-pour-tous com/les-6-stades-du-changement-auquel-etes-vous-bloque-e/,psychorigide hypnose,Réponse à lexercice portant sur les stades du changementCet article est une contribution au laboratoire d’idées « Vers un monde meilleur ». Ses membres publient une fois par mois un article sur un thème commun. Ce mois-ci, le thème est « Gérer ses émotions », proposé par Céline du blog Apprendre en s’amusant avec son article 5 pistes pour (ENFIN) éviter les crises
En dehors des conflits entre les deux, on observe souvent une méconnaissance de son propre fonctionnement. Et si on n’a pas toujours besoin de connaître ou de comprendre quelque chose pour intervenir dessus ou interagir avec, comme on n’a pas besoin de savoir comment marche un moteur pour conduire une voiture, c’est quand même intéressant d’avoir quelques bases ne serait-ce que pour ne pas lutter au mauvais niveau! (= « agir au bon niveau » pour la tournure positive ;))
J’avais déjà parlé des trois cerveaux dans mon article chez Penser & Agir (avec un exercice super pratique), mais on va revenir là-dessus plus en détail aujourd’hui, plus en détail pour faire plus simple aussi (j’espère).
Tout ça pour quoi, eh bien pour mieux vivre sa vie et ses émotions.
(Je continue sur mes notes du « Cerveau Magicien » de Roland Jouvent.)
Ces trois cerveaux sont apparus l’un après l’autre dans l’évolution, ils se sont en quelque sorte superposés.
On va commencer par le début.
C’est le premier, le cerveau primitif, qui assure les fonctions de vie et de survie ; c’est-à-dire l’éveil, la faim, la soif, la sexualité. Tout ça est complètement automatique chez nous.
C’est ici que naît le plaisir, le sentiment de satisfaction des besoins remplis.
C’est le cerveau émotionnel qui regroupe les compétences affectives et sociales : c’est-à-dire la motivation et l’envie, le sens d’appartenir à un groupe, les systèmes de récompense, les soins parentaux, et donc les émotions et l’affectivité.
C’est le plus récent, = nouveau cerveau. C’est le cerveau intellectuel qui nous gratifie du raisonnement, du langage, de la symbolique, la planification, l’imagination, l’abstraction, enfin ce qu’on appelle en gros l’intelligence.
On parle tout le temps de « gérer ses émotions », l’idée est simple, mais induit un peu en erreur sur les émotions.
Une émotion n’est pas une fin en soi, elle sert à s’adapter.
A la fois l’émotion informe sur l’état émotionnel donc, de la personne, mais aussi sur ce qu’elle est en train de faire pour rétablir un équilibre dans sa vie.
C’est pour ça que si le travail est bien fait quand vous vous retrouvez face à une situation similaire vous réagissez moins fortement : vous avez vécu un truc, vous en avez appris quelque chose et la fois d’après ça passe mieux. Vous êtes désormais plus adapté.e à certaines situations.
Le fait de pleurer soulage réellement, physiologiquement, des tensions qui sont trop fortes pour en rester aux pensées.
Quand vous êtes en colère, selon votre façon de la vivre, vous allez aussi trouver quelque chose pour rétablir un équilibre, dans l’immédiat certains vont nager pour évacuer ces tensions (différentes de celles de la tristesse donc), d’autres vont chercher l’équilibre par la vengeance (solution qui en général ne soulage en fait de rien, soit dit en passant, donc enfilez plutôt votre maillot de bain), et d’autres sont bloqués dans la rancoeur (rancune c’est le désir de vengeance, justement, pour la nuance).
C’est un vaste sujet mais la clé de la gestion des émotions réside notamment dans le fait de les accueillir et de les vivre pleinement.
Pour partir il faut entrer et passer à travers.
Si ce serait bien présomptueux de dire ce qu’est l’inconscient dans sa totalité, on va diviser le cerveau entre un cavalier et un cheval : le cavalier, c’est le néocortex, l’intellect, et le cheval, la combinaison du reptilien et du limbique, donc du primitif et de l’émotionnel.
Il est super rapide. Il a une super mémoire qui enregistre tous les évènements pour les comparer les uns aux autres et nourrir le système d’alerte. Eh ouais, si on oubliait que traverser la route sans regarder c’est dangereux, on n’aurait sans doute pas beaucoup d’occasion de se le rappeler hein. C’est aussi ce qui fait qu’on a du mal à refaire confiance à quelqu’un après une trahison : notre système a enregistré que ça craint et ne veut pas nous faire prendre de risque. Méfiance = sécurité.
C’est donc lui qui a faim, soif, qui a des désirs sexuels, qui est expressif, intuitif, colérique…
Le cheval c’est l’énergie.
Contrairement au cheval qui ne grandit plus, lui ne cesse d’évoluer.
Il est plus lent. Sa réflexion lui demande du temps, il est plutôt du genre compliqué. Si vous deviez réfléchir à une stratégie avant d’éviter un bus, vous ne seriez plus là, c’est le cheval rapide qui se charge de ça.
Donc le cavalier il analyse, bavarde, digresse, crée, fait des liens logiques et des associations, des métaphores, des calculs et des planifications, des commentaires, des rêves…
C’est un ordinateur, le cavalier. En fonctionnant bien il est capable d’imaginer à peu près tout. Mais si l’imagination suscite de l’émotion, c’est parce que celles-ci viennent du cheval! Sans ça, on n’y trouve pas grand intérêt finalement.
Le cavalier, c’est la direction.
Le cavalier a la fâcheuse tendance de penser que c’est lui qui commande. C’est lui qui a raison, il sait ce qu’il faut faire.
Le fait est que le cavalier et le cheval ne peuvent vivre l’un sans l’autre et que, comme j’aimerais que ce soit plus le cas en équitation, il ne s’agît pas de dominer le cheval pour lui faire faire ce qui nous arrange. A la base le cheval n’est tout simplement pas là pour obéir au cavalier, en fait.
Si vous êtes énervé.e contre vous parce que vous ne faites que trainer et faire des siestes pendant vos vacances alors que vous pourriez quand même en profiter pour aller au ciné et voir vos amis, je ne vous apprends pas grand chose mais vous êtes un cavalier qui n’écoute pas le besoin de repos du cheval. Et vous êtes énervé.e parce que vous pensez que la pensée, et donc le cavalier, c’est lui le tout-puissant qui décide. Je cite l’auteur (que je reformule depuis le début hein entendons-nous) :
« La puissance que le cavalier prête à sa pensée est à la hauteur de la tyrannie qu’il exerce à son propre égard »
Bim!
N’en déplaise à beaucoup, personne n’est increvable et les journées durent 24 heures.
Trouvez un moyen de l’accepter parce que lutter contre ça est tout simplement un suicide.
Aussi si vous vous traînez à procrastiner etc et c’est un peu un autre sujet, mais il arrive souvent que vous êtes en train de faire un truc pour lequel le cheval n’envoie pas d’émotion et donc pas d’énergie. C’est pour ça qu’il est si important de se connecter aux émotions dans ses projets.
Le vrai cheval comme votre cheval intérieur vous envoient des informations dans leur langage, que vous ne savez pas toujours décoder.
Calme, tolérance, attention, écoute et observation, ouverture, respect des besoins de chacun, sont des qualités indispensables à développer pour faire les choses harmonieusement. Osez me dire dire que vous fous foutez de l’harmonie
Apprendre à collaborer avec son cheval, voilà qui vous rendra la vie plus facile et plus agréable. Vous n’êtes rien sans lui, prenez-en soin!
Mimis les supers.
Aujourd’hui on va voir ce qui favorise le développement du cerveau dès qu’on est bébé (et comment on peut continuer de le développer adulte, car a priori si vous en êtes là, c’est un peu tard pour les premières étapes qui vous font une belle jambe) (mais au moins ça servira aux futurs parents) Je lis un livre que je trouve un peu compliqué des fois donc j’ai eu envie d’en résumer un bout sans vocabulaire scientifique BARBARE oui disons-le, il y en aura sûrement d’autres! Ce blog, c’est aussi mon outil de travail… que j’essaie de rendre intéressant.
Donc.
Evidemment, un bébé naît avec un cerveau. Tout aussi évidemment, tout n’est pas au point dès la naissance.
Toutes les structures cérébrales de base qui vont lui assurer son intelligence et ses capacités d’humain vont mettre environ 10 ans à se construire. Certaines connexions se font même beaucoup plus tard, mais on va dire qu’au bout d’une dizaine d’année, si tout se passe bien le cerveau a la majorité des éléments basiques pour assurer dans la vie.
« Si tout se passe bien », eh ouais, le développement du cerveau c’est tout un art.
L’essentiel des apprentissages d’un enfant (règles de comportement, codes de communication, échanges des opinions et des émotions) se fait dans les 6 premières années de sa vie, c’est là que le cerveau est le plus plastique, que le terrain d’apprentissage est le plus fertile.
Le bébé a des neurones mais ils ne sont pas encore reliés entre eux. Et cette partie du cerveau qui met 10 ans à se développer, ce sont les connexions, entre ces neurones. Pour apprendre et grandir, il faut la stimuler. Ce sont la nature et la richesse des stimulations qui vont permettre aux connexions de se construire.
En fonction de ce que le bébé découvre, certaines connexions vont se développer, se renforcer, mais d’autres aussi vont s’affaiblir voire disparaitre. C’est grâce à ça qu’on peut s’adapter à son environnement : le cerveau RÉPOND à l’environnement.
Concrètement ça donne quoi?
Non on ne parle pas ici de lui coller un iPad entre les mains à 3 mois et demi, mais d’interactions : la façon de lui parler, l’intonation de la voix donc le verbal, et aussi le non verbal comme les expressions et les gestes. La qualité de ces interactions va développer sa pensée et sa compréhension du monde qui l’entoure.
Et justement, il s’agît bien du monde « qui l’entoure » et pas du monde tout court, comme nous le montre cette affreuse expérience qui va rebiffer tout l’Internet :
Des pauvres petits chatons ont été élevés dans un environnement uniquement composé de bandes noires et blanches horizontales. Une fois placés ailleurs ils étaient en fait incapables de voir des verticales et se cognaient dans les arbres et les pieds de table.
Chaque stimulation provoque un petit signal chimique et électrique dans le cerveau ; du coup les neurones visuels de nos petits chats ne comprennent rien et ne répondent pas et c’est malheureux. Un peu comme si les enfants du désert ne pouvaient pas voir les arbres. (c’est une métaphore mais en fait je me demande vraiment comme ça se passe pour eux, sauf que je ne trouve rien là dessus en dehors de ma référence du coup peut être c’est vraiment juste une petite blague dans laquelle je mets les deux pieds).
Ok bon. Tout le monde n’a pas le même environnement et cette différence d’environnement va jouer sur pas mal de perceptions de la réalité.
= tous les individus n’ont pas le même environnement, donc pas le même développement, donc pas les mêmes représentations, prenons par exemple figure très simple :
Cette figure donne l’illusion que la barre verticale est plus grande, mais a priori plus pour les Occidentaux que les Africains : en Occident on trouve plus d’immeubles et de pylônes. Donc le petit Luc qui grandit à la Défense développe certaines croyances et illusions que n’aura pas, ou moins, la petite Mariam au Mali.
Au tout début, les mouvements du bébé ne sont pas volontaires ; il s’agît plutôt d’automatismes et de réflexes. Ce sont ces mouvements réflexes qui vont produire des sensations et des expériences, qui vont produire des connexions, qui vont produire des mouvements volontaires et ainsi de suite.
Le fait que le bébé soit bercé par son parent va créer une sensation de plaisir car c’est rassurant, qui va créer des connexions entre les neurones et développer le cerveau. Donc le fait de bercer son enfant va directement participer à son développement.
Même après, le sentiment d’être soi et les apprentissages de la vie vont tout aussi directement être alimentés par les sensations corporelles.
Si l’enfant manque d’interactions humaines, de contact physique ou visuel, de stimulations telles que le jeu ou la musique, les connexions ne se font pas ou moins, et donc le développement du cerveau est altéré et ça peut donner lieu à des comportements perturbés.
J’avais déjà évoqué la question de l’empathie dans cet article sur les neurones miroirs. Mais on peut aussi voir apparaitre des tics de langage ou des tics gestuels qu’on peut retrouver chez l’enfant autiste, ce n’est pas toujours un signe d’autisme mais à surveiller quand même.
Une bonne façon de continuer à développer des connexions neuronales quand on est grand est… de faire du sport!
Les activités physiques qui demandent une forte consommation d’oxygène (= les trucs fatigants quoi) augmentent la plasticité du cerveau et les capacités cérébrales. Les sportifs réguliers ont donc de meilleures aptitudes physiques mais aussi intellectuelles, bon, sûrement que quelques uns décrédibilisent cette idée mais en gros : les burpees rendent svelte ET intelligent, donc les amis tout le monde s’y met!
Un esprit sain dans un corps sain, nous y voilà.
Sources :
Le cerveau magicien, Roland Jouvent
Recherches utilisées pour trouver cet articleles facteurs de developpement chez lenfant,les facteurs accélérant le dévelppement du cerveau dun enfant,développement du cerveau chez l\enfant,https://super-pouvoirs-pour-tous com/les-2-facteurs-de-developpement-du-cerveau-chez-lenfant/,Trouve cinq facteurs qui influencent le développement du cerveau dans la periode prenatale,super facteur,les facteurs de développement de l’intelligence de l’enfant ?,lenfants qui a un peti problème au cerveux,le développement du cerveau du bébé,le développement du cerveau chez lenfantPas toujours facile d’y voir clair dans ses projets ou ses soucis n’est-ce pas?
Aujourd’hui je vous propose une grille de lecture très pratique pour décomposer chaque sphère de votre vie pour voir où ça coince et tout réaligner : la pyramide de Dilts, aka les Niveaux Logiques! (Robert Dilts est un américain qui fait de la PNL (Programmation Neuro Linguistique) depuis un bail)
Avec cette pyramide, vous allez pouvoir identifier là où se situe votre blocage, afin de mieux construire un projet.
Vous pouvez le faire seul mais un praticien vous aidera quand même à mieux vous y retrouver.
On commence par s’attarder niveau du bas, le 1er, l’environnement, et puis on remonte petit à petit. Le niveau du dessous est la conséquence du niveau du dessus.
Du coup si vous avez un problème dans l’environnement niveau 1, c’est au niveau 2, les comportements, qu’il faudra changer quelque chose. Si vous rangez votre salle de bain (comportement) vous avez une salle de bain propre (environnement).
Si vous identifiez un problème au niveau des croyances (4), le fait de le résoudre au niveau des valeurs (5) va avoir des répercussions sur tous les niveaux du dessous!
La plupart du temps, il n’y a pas de difficultés à CHAQUE niveau. On trouve celui qui coince et ça débloque logiquement ceux du dessous.
Il s’agît ici du milieu dans lequel vous évoluez : votre maison, votre famille, vos amis, votre déco, votre travail, votre ville, etc. Votre contexte de vie et ce qui vous est extérieur en fait.
C’est le fait de changer vos comportement (niveau 2) qui va améliorer votre environnement (1) ou sa perception.
Ici il s’agît de vos faits et gestes, vos paroles, vos attitudes, vos habitudes… Actions – réactions.
Le fait d’être souriant, susceptible, curieux, passif, hautain, fuyant, effacé, lève-tôt, etc.
Ce sont vos comportements qui vont construire l’environnement dans lequel vous vivez : si vous êtes odieux vous allez avoir des relations pourries, si vous êtes actif vos projets existeront et ça changera votre vie.
Vos comportements (2) ont lieu en fonction de vos capacités ou incapacités. C’est donc à ce niveau du dessus (3) qu’il faudra probablement intervenir.
C’est ce que vous savez faire très naturellement, et ce que vous ne savez pas encore faire. Vos aptitudes, vos talents, vos compétences et vos ressources, vos limites, les apprentissages à mettre en place.
Par exemple, vous savez faire preuve d’autonomie, de créativité, de pédagogie, vous savez gérer une équipe et faire de jolis dessins, comme vous pouvez n’avoir aucun tact, ne pas savoir remplir une feuille d’impôts (qui nous apprend ça? personne), être incapable de monter une armoire ou de parler librement devant plus de 5 personnes.
C’est grâce à vos capacités que vous allez vous comporter de la manière la plus adaptée à votre objectif.
– Soit vous ne savez pas faire parce que vous n’avez jamais fait : tout s’apprend, soyez curieux et bougez-vous.
– Soit vous ne savez pas faire parce que vous pensez que vous n’êtes pas capable : comme nous dit ce bon vieux Ford : « Que vous vous croyiez capable ou non, vous avez raison dans les deux cas » = c’est vous qui choisissez, vous voulez quoi?
Ford nous dit que les capacités, c’est essentiellement une question de croyances (niveau 4), donc allez-voir si vous y êtes.
Beaucoup de choses se jouent ici et ce n’est pas une mince affaire la plupart du temps! Une croyance est une idée que vous percevez comme vraie, pas toujours évident de trouver quoi remettre en question.
Ici vous trouvez vos opinions à propos de vous, de la vie, ce que vous pensez vrai et faux.
C’est votre champs des possibles.
Vous pensez qu’il faut travailler dur pour réussir, que vous n’avez pas de chance, que n’importe qui peut s’en sortir dans la vie s’il se bouge, qu’il faut un don pour dessiner, que changer c’est compliqué ou qu’il y a des opportunités partout.
Les croyances (4) vont conditionner vos capacités (3), comme nous l’avons vu ci dessus avec notre cher ami Ford. Elles viennent du niveau d’au dessus, celui des valeurs (5), mais aussi de l’identité (6).
Les valeurs (comme le partage, la santé, la sécurité, la liberté, la famille, etc) sont votre moteur, ce qui vous pousse à vivre et agir dans telle direction. C’est ce qui est important pour vous, par conséquent vous avez besoin, pour vous sentir bien, de répondre aux besoins générés par ces valeurs.
C’est un peu le bien et le mal, l’important et l’insignifiant, ce que vous vous autorisez et ce que vous vous interdisez.
Vos valeurs (5) représentent qui vous êtes (6).
Tout ce qui commence par « je suis » vous décrit.
Je suis une fonceuse.
Je suis dépressif.
Je suis calme.
Je suis créatif.
Je suis asperger.
Je suis enseignant.
Je suis gay.
Je suis sagittaire.
C’est l’image que vous avez de vous, que vous avez construite à partir de vos expériences. C’est le siège de l’égo, les étiquettes que vous vous collez, certaines vous servent et d’autres non. Les étiquettes que VOUS vous collez, vous pouvez les changer. Vous n’êtes pas obligé de vous définir par ça ni même de vous définir tout court d’ailleurs.
Encore moins de vous en servir comme excuse à votre façon d’agir : « Oui alors moi je suis médecin donc je sais de quoi je parle, d’ailleurs je suis lion ascendant capricorne donc ne t’étonne pas si je réagis comme ça ».
Souvent on est résistant au changement parce que ça ne correspond pas à qui on croit qu’on est. Sauf que si j’appelle Paul « Adeline », Paul ne change pas pour autant. Si pour lui c’est important de s’appeler Paul parce que hého c’est pas une gonzesse, Paul va se sentir déstabilisé voire attaqué dans son identité d’homme. Bon eh bien c’est pareil pour tout et puis si ça vous intéresse vous n’avez qu’à lire Mathieu Ricard.
On peut parfois s’identifier à un groupe, une catégorie de gens, un courant de pensée, se sentir relié à Dieu ou n’importe quoi d’autre de plus grand que soi. Si c’est le cas, ça peut valoir le coup d’aller interroger ce niveau pour renforcer celui de l’identité.
C’est le niveau des questions existentielles, pourquoi suis-je ici, à quoi je sers, quelle est ma place, quelle est ma mission de vie, etc.
Il va utiliser les niveaux logiques pour construire ce changement et imaginer que, c’est bon, il est maintenant non-fumeur.
Qu’est-ce qui change pour Paul à chaque niveau, maintenant qu’il a arrêté de fumer?
Environnement : plus de cendrier sur la table, plus d’odeurs de tabac, plus besoin de se cailler dehors l’hiver
Comportements : se remet au sport et se sent plus libre, ce qui change son attitude avec son partenaire et ses collègues
Capacités : respire mieux, sait se détendre sans cigarette
Croyances : pense désormais que c’est facile d’arrêter de fumer
Valeurs : prend sa santé plus à coeur qu’avant
Identité : se dit qu’il vaut mieux que ça, qu’il n’est pas un fumeur avec tout ce qu’il y associait qui lui posait problème
Appartenance : se reconnecte à sa vision du bonheur
Avec les niveaux logiques, elle fait le point sur ce que représente ce projet pour elle.
Environnement : habite à la campagne et cotoie des gens plus proches de son état d’esprit
Comportements : se lève tôt spontanément pour respirer l’air frais et aller féliciter ses pommiers de bien pousser
Capacités : sait s’investir pour ce qui est important pour elle
Croyances : pense qu’on peut avoir un métier épanouissant
Valeurs : permet aux gens de consommer local
Identité : est actrice du changement de société qu’elle souhaite voir
Appartenance : se sent plus connectée à la nature
…pour son boulot mais n’arrive pas à s’y mettre efficacement.
Voyons ce qui peut lui permettre d’avancer un peu :
Environnement : prend des cours dans un centre pour adultes (et pas à la maison avec les enfants qui courent partout)
Comportements : ne rougis plus quand c’est à son tour de parler
Capacités : utilise les stratégies d’apprentissage comme les mindmaps et la courbe de l’oubli pour mieux mémoriser
Croyances : constate qu’on peut apprendre une langue facilement à tout âge
Valeurs : peut désormais partager sa vision des choses avec plus de monde
Identité : c’était tout ce qui lui manquait pour que son poste lui corresponde parfaitement, pour le coup Camille s’identifie vraiment à sa mission
Appartenance : voit grand et est fier de faire partie de cette entreprise
Donc en fonction de ce qui se dégage ici, Ahmed Elodie et Camille peuvent observer ce qui leur correspond aujourd’hui et ce qui est censé leur correspondre plus tard une fois que ça a changé. A partir de là il vont pouvoir choisir un niveau à travailler plus précisément à partir duquel les autres vont se réaligner.
Admettons que ce qui bloque Camille c’est sa croyance selon laquelle après 40 ans on n’apprend plus grand chose :
– donc ça conditionne ses capacités d’apprentissages, on s’arrange toujours inconsciemment pour confirmer sa croyance
– donc Camille reste en retrait pour ne pas montrer sa nullité à d’autres
– donc Camille bosse à la maison avec ses enfants bruyants pour ne pas se confronter à un cours collectif
Pour corriger tout ça Camille va pouvoir se reconnecter à sa valeur « développement personnel » qui veut qu’on grandisse et apprenne toute sa vie, ça et quelques recadrages vont pouvoir aider à changer cette croyance pour penser qu’après tout il n’y a pas d’âge pour apprendre, alors ça lui permet de s’ouvrir à d’autres manières d’apprendre, donc de mieux apprendre et avoir confiance, donc de pouvoir parler devant d’autres élèves.
Pigé?
1. Choisissez et définissez votre objectif à l’aide de cet article
2. Mettez-vous en auto-hypnose pour plus d’efficacité (vous pouvez l’apprendre simplement avec mon guide gratuit et ses mp3 à télécharger en bas de la page)
3. Imaginez que vous avez DÉJÀ atteint cet objectif, vous avez déjà changé.
4. Passez en revue chaque niveau : maintenant que vous avez changé, à quoi ressemble votre environnement? Maintenant que vous avez changé, comment vous comportez-vous?
Vous pouvez aussi le faire comme ça : quel environnement vous a permis de changer? quel comportement avez-vous adopté? Qu’avez-vous appris pour faire ça? etc.
5. Arrivé.e en haut de la pyramide, regardez tout le chemin que vous avez parcouru.
6. Vous gardez le ressenti positif que vous avez et vous revenez au présent concrétiser tout ça. Qu’est-ce que vous allez faire de nouveau maintenant? Par quoi allez-vous commencer, quelle est la prochaine étape à dépasser?
TIPS BONUS : vous pouvez faire ça debout, faire un pas à chaque niveau, ce qui renforcera l’effet de l’étape 5
Si vous avez du mal avec une étape, ça vous donne une piste de travail, thérapeutique ou de développement personnel.
Alors évidemment c’est quand même bien mieux de le faire avec un praticien qui vous épargne non seulement de penser aux étapes, mais aussi qui vous aide à mettre vos blocages en lumière et à les dépasser. Bon en tout cas, seul ou pas ça j’espère que ça vous donne des idées!
Voilà pour les niveaux logiques qu’on peut utiliser dans pas mal de situations.
J’espère que tout est clair, sinon évidemment dites-le moi.
Super bisous.
(pour le pack d’apprentissage d’auto-hypnose gratuit, inscrivez votre adresse juste en bas et contactez-moi si vous avez un soucis!)
Dans le dernier article « Mon avis sur la loi de l’attraction« , je vous disais que l’auto-suggestion et la visualisation ne servaient pas à grand chose. Ces deux pratiques font partie de ce qu’on appelle plus globalement la pensée positive, qui s’adresse aux gens qui ne le sont pas, positifs.
Cette démarche consiste à se répéter des phrases positives quand ça ne va pas, pour se reconditionner et aller mieux. L’idée à de quoi séduire, mais comme la version grand public de la loi de l’attraction, on en déchante vite.
Aujourd’hui je voulais donc revenir plus précisément sur ce principe de pensée positive. En dehors de la loi de l’attraction, il existe plein de livres vendeurs d’espoir… qui le tuent plus qu’autre chose.
Mais d’abord…
Oui parce que les deux sont souvent confondues et n’ont pourtant pas du tout les mêmes bases.
On dira que la différence est que la première n’est pas scientifiquement prouvée et la deuxième si. Soit, très bien.
Perso je ne mets pas plus que ça la science en position d’autorité, je pense qu’elle prouvé plein de choses mais qu’elle a un train de retard sur certaines expériences qui sont pourtant concrètes.
En tout cas, pour aujourd’hui, l’expérience est là : l’une ne marche pas et l’autre si.
La pensée positive se repose sur le pouvoir de la pensée.
La psychologie positive s’appuie sur l’étude des facteurs qui permettent à l’humain de s’épanouir et l’entrainement du mental.
Le bonheur, ça se cultive, mais avec plus de stratégie que de se répéter des phrases!
Si vous n’êtes pas d’accord, c’est parce que vous ne les avez pas apprises
Les gens qui vont bien s’en foutent alors on va parler pour ceux qui vont mal, ce sont eux qui se tournent vers ce genre de solution, disons-le, un peu magique (high five!)
Se répéter des affirmations pour que ça aille mieux, c’est premièrement renier ou fuir ce que vous êtes en train de vivre. Oh nan! Un truc négatif! J’en veux pas, c’est désagréable, virez-moi ça je veux me sentir bien!
Votre vie est faite de TOUTES sortes d’expériences. Vous ne pouvez PAS n’en vivre que des super tout le temps, si vous n’acceptez pas ça, vous vous mettez des bâtons dans les roues, vous construisez vous-même vos résistances.
Quand vous êtes dans un embouteillage, c’est chiant, vous râlez, mais ça ne sert absolument à rien de klaxonner et d’engueuler les gens, ça ne change rien, et vous n’allez pas rester dans cet embouteillage toute votre vie alors qu’avez vous à faire à part d’accepter le fait d’être dans un embouteillage? Eh ben rien.
Dans votre vie c’est pareil, des fois le trafic est fluide, des fois non, sauf que c’est vous qui créez le bouchon en fait.
Une émotion dure 1 minute 30, au delà de ça on l’entretient. Ouais je sais, moi aussi j’ai du travail avant d’en arriver là. C’est possible. Je connais quelqu’un qui le fait, moi ça me suffit pour me motiver C’est à peu près toujours une question d’égo blessé.
Bref, se répéter des affirmations, ça met un pansement, c’est tout, et comme les comprimés et l’alcool, ça ne résoud rien.
On verra tout à l’heure que toutes les solutions conscientes ne sont pas à jeter ; simplement, pourquoi affirmations et visualisations ne marchent pas, sans doute parce que votre inconscient a un autre avis sur la question et que vous êtes en train d’ignorer cette piste-là. Vous êtes en train d’essayer de le convaincre (et sans arguments :)) de quelque chose avec lequel il n’est pas d’accord. Vous ne croyez pas une seconde à ce que vous dites, au fond.
C’est votre inconscient qui génère vos émotions, c’est avec lui qu’il faut dealer, et vos phrases de bonheur non seulement il ne les reçoit pas, mais quand bien même vous les diriez en auto-hypnose pour les lui adresser plus directement ; il s’en fout. Ca ne sert donc à rien de s’acharner à lui répéter des phrases de bonheur.
Mauvaise solution parce que, comme on vient de le voir, l’intention a beau être louable, on ne va pas bien loin avec, mauvais public parce que les gens souhaitant l’utiliser sont dans une période où ça ne va pas fort, et donc fragilisés ou en tout cas vulnérables à ce moment. Une fausse bonne solution quand l’attente de ce genre de personne est si forte, aïe.
Le bonheur ça se cultive = le bonheur ça demande quelques efforts et donc un minimum d’énergie (et tous les jours, soit dit en passant)
Ici, vous mobilisez votre énergie avec un truc qui ne marche pas, donc vous la perdez. Perdre son énergie, c’est fatigant mais surtout pénible et ça génère de la frustration : quoi, mais ça a pas l’air si sorcier pourquoi j’y arrive pas?!
Selon les gens, certains vont remettre en question la méthode, certains vont se remettre en questions eux-mêmes et finalement ces efforts infructueux ne font qu’alimenter la situation d’un sentiment d’échec et de dévalorisation, en nourrissant aussi l’impatience.
Les personnes manquant d’estime d’elle-même, c’est à dire beaucoup même à des degrés différents, vont donc s’attribuer cet échec et se trouver encore plus nulles! Bim on enfonce encore un peu le clou!
Quand ça ne va pas, faites-vous le cadeau d’aller voir quelqu’un plutôt que galérer tout seul dans votre coin. Vous gagnerez du temps, vraiment. Trouvez un praticien en thérapie brève près de chez vous (qui fait de l’hypnose, de la kinésio, de la PNL, de l’EFT, des constellations familiales, etc…), quelques séances vous aideront à remonter la pente et dépasser vos difficultés actuelles.
Je sais que cette démarche de demander de l’aide est difficile pour certains pour diverses raisons, mais TOUT LE MONDE a des failles. Allez-y ça vous fera du bien.
A faire pour moi en parallèle, je parle ici essentiellement de méditation (O-BLI-GA-TOIRE! :)) et d’auto-hypnose. Vous pouvez apprendre et pratiquer l’EFT seul aussi.
Petite séance d’auto-hypnose à faire chez soi :
1. Entrez dans un état d’hypnose, même léger, à l’aide de mon guide d’apprentissage rapide à télécharger en bas de page (c’est archi gratuit!)
2. Les affirmations et les visualisations peuvent aider à condition d’être judicieusement choisies, je vous en propose quatre :
– visualisez un flot d’énergie qui vous traverse, pendant quelques minutes, de la matière et de la couleur qui vous correspond, qui peut symboliser le flot de la vie, vos émotions, ce qui vous semble le plus juste pour vous.
– visualisez une douche, ou un liquide, qui vous nettoie de ce qui n’est plus nécessaire chez vous (ne mentionnez rien, gardez juste cette intention), un truc qui purifie quoi
– faites circuler une boule de lumière de haut en bas, lentement à travers vous
– visualisez-vous dans une grande enveloppe de lumière : vous pouvez commencer avec une petite lumière au milieu de la poitrine et la faire grandir à chaque respiration
Vous pouvez vous faire les affirmations suivantes :
– je laisse circuler tout ce qui demande à circuler
– j’accueille toutes les expériences dans ma vie, avec leurs richesses et leurs apprentissages
– je m’ouvre à ce qu’il y a de meilleur pour mon évolution personnelle
– je remercie la vie pour toutes les occasions qui me sont données de progresser et d’être meilleur
– je transforme tout ce qui m’arrive en opportunité
– j’écoute mon ressenti en m’orientant vers les solutions
– je choisis d’avoir confiance en moi et en la vie
Pratiquez ça autant de fois que ça vous fait du bien!
WARNING : Si vous avez été séduit par le côté magique de la pensée positive, ne vous tournez pas vers l’hypnose parce que ça vous a l’air magique, vous déplacez le problème et le résultat sur vos attentes sera le même : il n’y a rien de magique, ça prendra le temps que ça prendra et vous allez devoir bosser, point. Désolée-pas-désolée, je ne suis pas là pour vous arnaquer
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Comme je le dis souvent, le carnet de gratitude et d’expériences positives à remplir chaque jour (solution consciente) est essentiel pour retrouver le chemin le plus agréable, c’est pas moi qui le dit c’est la SCIEEEENCE! En faisant ça, en prenant cette habitude, cette attention vers les éléments positifs de votre vie va petit à petit rentrer dans votre inconscient qui fera automatiquement plus attention à encore d’autres éléments positifs. Comme ça va changer votre expérience, ça va changer quelques unes de vos croyances, donc quelques unes de vos actions, etc.
Plus que vos pensées ce sont vos croyances qu’il faut modifier, et développer votre foi.
Je ne dis pas que la pensée positive est à jeter, c’est toujours bien d’avoir un petit remontant et des sources d’inspirations. Mais laissez tomber l’idée que ça suffit.
Vous êtes responsable de vos expériences, votre bonheur ne tient qu’à vous, je sais que c’est chiant d’entendre ça quand ça ne va pas mais.. c’est vrai.
Les deux premières étapes du bonheur? Le décider, et s’y intéresser. Troisième : se bouger les fesses.
Je vous rappelle que vous pouvez télécharger le pack d’apprentissage de l’auto-hypnose juste en dessous, c’est bien plus simple que ça en a l’air et ça vous facilitera la vie
Bisous-bisous!
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