Chaque semaine, la rédaction de The Conversation va à la rencontre d’un spécialiste pour éclairer une question d’actualité.
The Conversation France a suivi l’édition inaugurale du festival de jeu de l’Oie organisé par l’université d’Aix Marseille, un événement dédié aux arts, aux humanités et plus largement aux sciences humaines.
Le jeu, c’est aussi la capacité à réinventer le monde, notamment à travers des œuvres de fiction. Jean‑Luc Bonniol, professeur émérite en anthropologie (Université d’Aix-Marseille) nous explique les raisons d’un triomphe mondial, celui de la série Game of Thrones, entre goût des grands récits, échos réalistes au monde contemporain, et attrait du merveilleux.
J.L Bonniol remercie Sandra Laugier qui, dans son article « Retour sur Game of Thrones, une expérience personnelle augmentée », a inspiré une bonne part de ses propos.
Conception et interview : Sonia Zannad
Montage : Lou Biasutto.
Jean-Luc Bonniol ne travaille pas, ne conseille pas, ne possède pas de parts, ne reçoit pas de fonds d'une organisation qui pourrait tirer profit de cet article, et n'a déclaré aucune autre affiliation que son organisme de recherche.
The Conversation France a suivi l’édition inaugurale du festival de jeu de l’Oie organisé par l’université Aix Marseille, un événement dédié aux arts, aux humanités et plus largement aux sciences humaines. La dernière journée de ce festival posait la question « Le sport est-il encore un jeu ? »
Le jeu au sens large peut sembler frivole, quand le sport est un « jeu sérieux », pour reprendre l’expression de l’ethnologue Christian Bromberger : il représente aussi la capacité à réinventer le monde, par la production d’un récit aux accents mythiques.
Stéphane Mourlane, maître de conférences en histoire contemporaine (Université Aix-Marseille) et coordinateur, pour la Maison méditerranéenne des sciences de l’homme, du programme Territoires et patrimoine du sport en région Sud-PACA (TEPAS) nous expose ici les ressorts culturels et les enjeux socio-politiques liés notamment à la médiatisation d’un sport devenu spectacle.
Conception et interview : Sonia Zannad
Montage : Lou Biasutto.
Stéphane Mourlane ne travaille pas, ne conseille pas, ne possède pas de parts, ne reçoit pas de fonds d'une organisation qui pourrait tirer profit de cet article, et n'a déclaré aucune autre affiliation que son organisme de recherche.
Chaque année, début juillet, l’annonce des résultats du bac fait la « une » des journaux télévisés. Dans les reportages défilent les images de lycéens fébriles et de parents émus. Pour les familles, un chapitre se termine en effet. Mais les débats autour de Parcoursup, la plate-forme d’affectation dans l’enseignement supérieur, nous le rappellent : l’examen, aussi symbolique soit-il, ne suffit pas à ouvrir toutes grandes les portes de l’avenir, et c’est à chaque jeune de jongler avec les informations et d’apprivoiser les codes universitaires pour conquérir sa place en société.
Comment cet « après » se dessine-t-il ? En tandem, le réalisateur Mathieu Vadepied et Fabien Truong, sociologue et auteur de Jeunesses françaises, bac+5 made in banlieue, explorent cette phase de transition et de construction dans le documentaire Les Défricheurs (diffusion prévue sur France 3 le 1er juillet, film accessible en ligne ensuite pendant un mois). On y suit les trajectoires de trois élèves de terminale : Brandon, qui choisit une prépa commerciale, Amine qui se risque en Staps, filière si convoitée par les bacheliers, et Faïda, qui entame des études de droit.
Pas simple de filmer l’orientation, ce processus de décisions personnelles où se croisent espoirs et barrières sociales. Le documentaire fait le choix de rester à la hauteur des trois protagonistes, faisant fi des voix off. Objectif : garder « l’ouverture » de l’ethnographie, montrer que tout ne suit pas une trajectoire rectiligne. Les « défricheurs », ce sont « ces jeunes de milieu populaire qui sont déjà passés par les études supérieures et qui en sont un peu revenus », comme nous l’explique Fabien Truong.
Dans le documentaire, on voit les trois héros transmettre le flambeau à la génération suivante en revenant dans leur lycée quelques années plus tard pour présenter leurs filières, leurs réussites et leurs échecs. Dans ce podcast, Fabien Truong nous fait part de son expérience de chercheur passé derrière la caméra pour sonder d’une autre manière la question de l’orientation, sans faire de la « sociologie illustrée ». Bonne écoute !
Épisode de la série « Défricher », liée au documentaire.Judith Mayer ne travaille pas, ne conseille pas, ne possède pas de parts, ne reçoit pas de fonds d'une organisation qui pourrait tirer profit de cet article, et n'a déclaré aucune autre affiliation que son organisme de recherche.
En résidence d’écriture au lycée Sainte-Pulchérie d’Istanbul à l’occasion du mois de la francophonie 2019, Valérie Manteau présente Le sillon (Le Tripode, Prix Renaudot 2018) auprès des auditeurs d’Açik radyo.
Deuxième partie : Le sillon : processus de création d’une auto-docu-fiction.
Retrouvez ici la 1ʳᵉ partie de cette interview.
Interview et montage, Judith Mayer ; production Açik radyo, Ilksen Mavituna ; traduction en turc pour Açik radyo, Deniz Günce Demirhisar. Extrait musical, « Sevdan olmasa ».
Judith Mayer est programmatrice littéraire pour trois lycées francophones d'Istanbul et a réalisé cette interview pour Açik radyo.
En résidence d’écriture au lycée Sainte-Pulchérie d’Istanbul à l’occasion du mois de la francophonie 2019, Valérie Manteau présente Le sillon (Le Tripode, Prix Renaudot 2018) auprès des auditeurs d’Açik radyo.
Première partie : Le sillon et les ponts. La peur et la solidarité.
Retrouvez ici la 2ᵉ partie de cette interview.
Interview et montage, Judith Mayer ; production Açik radyo, Ilksen Mavituna ; traduction en turc pour Açik radyo, Deniz Günce Demirhisar. Extrait musical, « Sevdan olmasa ».
Judith Mayer est programmatrice littéraire pour trois lycées francophones d'Istanbul et a réalisé cette interview pour Açik radyo.
Dans la lignée des rencontres littéraires mensuelles « Texto » organisées depuis 2012 à l’Université Paris 13, le prix littéraire Texto-Festival des idées Paris a pour ambition de promouvoir la littérature contemporaine auprès des établissements de la communauté universitaire Sorbonne Paris cité.
Pour cette première édition, les étudiants en Licence Information et Communication, sous la houlette de leur enseignante Judith Mayer, ont interviewé chacun.e des auteur·e·s en lice.
Ces interviews seront également diffusées sur la webradio des étudiants, Treizièm’onde, et sur Radio Neo.
Ces œuvres d’auteur·e·s émergent·e·s parues en 2018 en littérature jeunesse et littérature générale représentent toutes des récits initiatiques, en lien avec le thème « Jeunesse éternelle » de la troisième édition du Festival des idées Paris.
Lucie Land, La débrouillardise, Grasset, février 2018
Joanne Richoux, Les collisions, Sarbacane, avril 2018
Ingrid Thobois, Miss Sarajevo, Buchet-Chastel, août 2018
Nicolas Mathieu, Leurs enfants après eux, Actes Sud, août 2018
Aminata Aidara, Je suis quelqu’un, Gallimard, septembre 2018
François Beaune, Omar et Greg, Le nouvel Attila, septembre 2018
Aujourd’hui, retrouvez l’interview de Joanne Richoux, pour son livre Les collisions.
La remise du prix Texto-Festival des idées Paris aura lieu le 3 décembre à 21h à la Maison de la Poésie, en présence de Maylis de Kerangal (Un monde à portée de main, Verticales, septembre 2018) et des auteurs de la sélection.
Conception et montage : Emmeline Gerrard, Wissal Aguenaou, Alexandre Tangre, Vannick Dieyi Laura Blas, Judith Mayer et Antoine Faure. Interview : Laura Blas.
Le prix Texto-Festival des Idées Paris est financé par USPC.
Dans la lignée des rencontres littéraires mensuelles « Texto » organisées depuis 2012 à l’Université Paris 13, le prix littéraire Texto-Festival des idées Paris a pour ambition de promouvoir la littérature contemporaine auprès des établissements de la communauté universitaire Sorbonne Paris cité.
Pour cette première édition, les étudiants en Licence Information et Communication, sous la houlette de leur enseignante Judith Mayer, ont interviewé chacun.e des auteur·e·s en lice.
Ces interviews seront également diffusées sur la webradio des étudiants, Treizièm’onde, et sur Radio Neo.
Ces œuvres d’auteur·e·s émergent·e·s parues en 2018 en littérature jeunesse et littérature générale représentent toutes des récits initiatiques, en lien avec le thème « Jeunesse éternelle » de la troisième édition du Festival des idées Paris.
Lucie Land, La débrouillardise, Grasset, février 2018
Joanne Richoux, Les collisions, Sarbacane, avril 2018
Ingrid Thobois, Miss Sarajevo, Buchet-Chastel, août 2018
Nicolas Mathieu, Leurs enfants après eux, Actes Sud, août 2018
Aminata Aidara, Je suis quelqu’un, Gallimard, septembre 2018
François Beaune, Omar et Greg, Le nouvel Attila, septembre 2018
Aujourd’hui, retrouvez l’interview de Nicolas Mathieu, pour son livre Leurs enfants après eux (Actes Sud, Prix Goncourt 2018)
La remise du prix Texto-Festival des idées Paris aura lieu le 3 décembre à 21h à la Maison de la Poésie, en présence de Maylis de Kerangal (Un monde à portée de main, Verticales, septembre 2018) et des auteurs de la sélection.
Conception et montage : Yasmine Mgaith, Michelle Ouattara, Judith Mayer et Antoine Faure. Interview : Miriam Benanser.
Le prix Texto-Festival des Idées Paris est subventionné par Université Sorbonne Paris cité.
Dans la lignée des rencontres littéraires mensuelles « Texto » organisées depuis 2012 à l’Université Paris 13, le prix littéraire Texto-Festival des idées Paris a pour ambition de promouvoir la littérature contemporaine auprès des établissements de la communauté universitaire Sorbonne Paris cité.
Pour cette première édition, les étudiants en Licence Information et Communication, sous la houlette de leur enseignante Judith Mayer, ont interviewé chacun.e des auteur·e·s en lice.
Ces interviews seront également diffusées sur la webradio des étudiants, Treizièm’onde, et sur Radio Neo.
Ces œuvres d’auteur·e·s émergent·e·s parues en 2018 en littérature jeunesse et littérature générale représentent toutes des récits initiatiques, en lien avec le thème « Jeunesse éternelle » de la troisième édition du Festival des idées Paris.
Lucie Land, La débrouillardise, Grasset, février 2018
Joanne Richoux, Les collisions, Sarbacane, avril 2018
Ingrid Thobois, Miss Sarajevo, Buchet-Chastel, août 2018
Nicolas Mathieu, Leurs enfants après eux, Actes Sud, août 2018
Aminata Aidara, Je suis quelqu’un, Gallimard, septembre 2018
François Beaune, Omar et Greg, Le nouvel Attila, septembre 2018
Aujourd’hui, retrouvez l’interview de Lucie Land, pour son livre La débrouillardise.
La remise du prix Texto-Festival des idées Paris aura lieu le 3 décembre à 21h à la Maison de la Poésie, en présence de Maylis de Kerangal (Un monde à portée de main, Verticales, septembre 2018) et des auteurs de la sélection.
Conception et montage : Laura Blas, Vannick Dieyi, Alexandre Tangre et Antoine Faure. Interview : Laura Blas.
Le prix Texto-Festival des Idées Paris est subventionné par Université Sorbonne Paris cité.
Dans la lignée des rencontres littéraires mensuelles « Texto » organisées depuis 2012 à l’Université Paris 13, le prix littéraire Texto-Festival des idées Paris a pour ambition de promouvoir la littérature contemporaine auprès des établissements de la communauté universitaire Sorbonne Paris cité.
Pour cette première édition, les étudiants en Licence Information et Communication, sous la houlette de leur enseignante Judith Mayer, ont interviewé chacun.e des auteur·e·s en lice.
Ces interviews seront également diffusées sur la webradio des étudiants, Treizièm’onde, et sur Radio Neo.
Ces œuvres d’auteur·e·s émergent·e·s parues en 2018 en littérature jeunesse et littérature générale représentent toutes des récits initiatiques, en lien avec le thème « Jeunesse éternelle » de la troisième édition du Festival des idées Paris.
Lucie Land, La débrouillardise, Grasset, février 2018
Joanne Richoux, Les collisions, Sarbacane, avril 2018
Ingrid Thobois, Miss Sarajevo, Buchet-Chastel, août 2018
Nicolas Mathieu, Leurs enfants après eux, Actes Sud, août 2018
Aminata Aidara, Je suis quelqu’un, Gallimard, septembre 2018
François Beaune, Omar et Greg, Le nouvel Attila, septembre 2018
Aujourd’hui, retrouvez l’interview d’Ingrid Thobois, pour son livre Miss Sarajevo.
La remise du prix Texto-Festival des idées Paris aura lieu le 3 décembre à 21h à la Maison de la Poésie, en présence de Maylis de Kerangal (Un monde à portée de main, Verticales, septembre 2018) et des auteurs de la sélection.
Conception et montage : Abdelaziz Benramdane, Mohamed Bouras, Vannick Dieyi et Antoine Faure. Interview : Abdelaziz Benramdane.
Le prix Texto-Festival des Idées Paris est subventionné par Université Sorbonne Paris cité.
Dans la lignée des rencontres littéraires mensuelles « Texto » organisées depuis 2012 à l’Université Paris 13, le prix littéraire Texto-Festival des idées Paris a pour ambition de promouvoir la littérature contemporaine auprès des établissements de la communauté universitaire Sorbonne Paris cité.
Pour cette première édition, les étudiants en Licence Information et Communication, sous la houlette de leur enseignante Judith Mayer, ont interviewé chacun.e des auteur·e·s en lice.
Ces interviews seront également diffusées sur la webradio des étudiants, Treizièm’onde, et sur Radio Neo.
Ces œuvres d’auteur·e·s émergent·e·s parues en 2018 en littérature jeunesse et littérature générale représentent toutes des récits initiatiques, en lien avec le thème « Jeunesse éternelle » de la troisième édition du Festival des idées Paris.
Lucie Land, La débrouillardise, Grasset, février 2018
Joanne Richoux, Les collisions, Sarbacane, avril 2018
Ingrid Thobois, Miss Sarajevo, Buchet-Chastel, août 2018
Nicolas Mathieu, Leurs enfants après eux, Actes Sud, août 2018
Aminata Aidara, Je suis quelqu’un, Gallimard, septembre 2018
François Beaune, Omar et Greg, Le nouvel Attila, septembre 2018
La remise du prix Texto-Festival des idées Paris aura lieu le 3 décembre à 21h à la Maison de la Poésie, en présence de Maylis de Kerangal (Un monde à portée de main, Verticales, septembre 2018) et des auteurs de la sélection.
Aujourd’hui, retrouvez l’interview d’Aminata Aidara, pour son livre Je suis quelqu’un.
Conception et montage : Abdelaziz Benramdane, Mohamed Bouras et Antoine Faure.
Interview : Abdelaziz Benramdane.
Le prix Texto-Festival des Idées Paris est subventionné par Université Sorbonne Paris cité.
Dans la lignée des rencontres littéraires mensuelles « Texto » organisées depuis 2012 à l’Université Paris 13, le prix littéraire Texto-Festival des idées Paris a pour ambition de promouvoir la littérature contemporaine auprès des établissements de la communauté universitaire Sorbonne Paris cité.
Pour cette première édition, les étudiants en Licence Information et Communication, sous la houlette de leur enseignante Judith Mayer, ont interviewé chacun.e des auteur·e·s en lice.
Ces interviews seront également diffusées sur la webradio des étudiants, Treizièm’onde, et sur Radio Neo.
Ces œuvres d’auteur·e·s émergent·e·s parues en 2018 en littérature jeunesse et littérature générale représentent toutes des récits initiatiques, en lien avec le thème « Jeunesse éternelle » de la troisième édition du Festival des idées Paris.
Lucie Land, La débrouillardise, Grasset, février 2018
Joanne Richoux, Les collisions, Sarbacane, avril 2018
Ingrid Thobois, Miss Sarajevo, Buchet-Chastel, août 2018
Nicolas Mathieu, Leurs enfants après eux, Actes Sud, août 2018
Aminata Aidara, Je suis quelqu’un, Gallimard, septembre 2018
François Beaune, Omar et Greg, Le nouvel Attila, septembre 2018
La remise du prix Texto-Festival des idées Paris aura lieu le 3 décembre à 21h à la Maison de la Poésie, en présence de Maylis de Kerangal (Un monde à portée de main, Verticales, septembre 2018) et des auteurs de la sélection.
Aujourd’hui, retrouvez l’interview de François Beaune, pour son livre Omar et Greg.
Conception et montage : Abdelaziz Benramdane, Laura Blas, Emmeline Gerard, Mohamed Bouras et Antoine Faure
Interview : Abdelaziz Benramdane
Le prix Texto-Festival des Idées Paris est subventionné par Université Sorbonne Paris cité.
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