Ecouter le Monde évoque les cultures, les langues et les imaginaires à travers des sons d’Afrique, d’Amérique, d’Asie, d’Europe, d’Océanie. Une matinée parisienne dans le brouhaha du métro avec ses portillons qui claquent, une autre au marché de Bobo-Dioulasso avec les harangues des vendeurs, un voyage dans les souvenirs sonores d’enfance d’une habitante des rives du Danube, une excursion près du glacier qui craque en Patagonie argentine ou encore minuit sonné par les cloches de la place Saint-Marc à Venise. Toutes les formes sont explorées : mosaïques, polaroïds, instantanés, scénettes de la vie quotidienne, les valises et les souvenirs sonores d’habitants, d’artistes et des journalistes…
Comment les sons de la vie quotidienne résonnent-ils dans les paroles des poètes ? Comment les poètes écoutent-ils le monde ? Guetteurs d'inaperçus, ils suggèrent bien souvent des manières inattendues et profondes d'y prêter l'oreille. « Écoute plus souvent les choses que les êtres... », écrit le poète sénégalais Birago Diop dans Souffles. Éclats de voix d'un poème aimé et remémoré.
Cet épisode a été enregistré lors d'un atelier d'improvisation et interprétation dirigé par Monica Fantini dans le cadre d'une résidence d'artiste à l'Alliance française de Ziguinchor, au Sénégal, en mars 2023. Merci aux participants en résidence : le poète Chehem Watta, la dramaturge et comédienne Danielle Lyse Itoumba Mbeng et l'écrivain et metteur en scène Luc Alanda Koubidina.
ÉCOUTER LE MONDE, EN BREF
Tout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d’information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d’émissions sont à écouter en podcast sur ce site, tandis que la plateforme participative et évolutive propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.
Auteure et coordinatrice d’Écouter le monde, Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise, voix de poètes… Autant d’éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs.
De leur collecte à la création d’œuvres sonores et à leur diffusion, Monica Fantini sollicite la collaboration d’artistes, de chercheurs, compositeurs, journalistes et écrivains, afin de fédérer une large communauté et de mettre en commun expériences et savoirs dans différentes approches du son. Avec l’ambition de développer la pratique, le sens et le plaisir de l’écoute, elle dirige aussi des ateliers sonores s’adressant à tous les publics : enseignants, enfants, étudiants, migrants, détenus, poètes, musiciens… Enfin, les créations sonores d’Écouter le monde font régulièrement l’objet de présentations publiques dans le cadre de festivals, d’expositions, de colloques et d’événements culturels dédiés, imaginés par les auteurs de la plateforme. Tous les ans, la Bibliothèque nationale de France laisse ainsi carte blanche à Monica Fantini autour d’Écouter le monde.
Équipe de production
Prise de son, montage, mixage : Monica Fantini
Aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
Écouter le monde sur
Qu’entendez-vous de l’aube à la nuit dans votre ville ? Des enfants du quartier de Koko à Bobo-Dioulasso ont entendu, enregistré et dit de vive voix en dioula, leur langue maternelle, tous les sons qui traversent leur journée. De l’alarme de la sirène matinale de la mairie centrale en passant par les cris des vendeurs du marché, aux frappes régulières du bois sur le tissu des tapeurs de bazin, jusqu’aux sons de la nuit. Traversée sonore à hauteur d’enfants.
À Bobo-Dioulasso des enfants participent aux ateliers artistiques organisés par la Soupape Ailée depuis trente ans. Cette association fondée par deux sculptrices Ange et Dam, invite des artistes en résidence au Burkina Faso pour créer avec les enfants. Lors de l’atelier « Koko dans les oreilles » dirigé par Monica Fantini et Valérie Nivelon, des enfants ont identifié, écouté, enregistré les sons de leur quotidien pour composer un Cd et cet épisode.
→ Le site de la Soupape Ailée
→ Le site d’Ange et Dam
Tout à la fois chronique de radio diffusée sur RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures du monde à travers des sons du quotidien. Des centaines d’émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.
Équipe de production
Conception, montage, mixage : Monica Fantini
Aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
Écouter Le monde sur
Comment les sons sacrés du monde résonnent-ils entre eux ? Comment emplissent-ils l’espace public au quotidien ? Du chant du soir à la Mosquée al-Moultazam de Dakar, aux volées des cloches de la cathédrale Notre-Dame de Paris, jusqu’aux tintements des clochettes de la cérémonie religieuse du bouddhisme tibétain au monastère de Likir en Inde, les sons sacrés se répandent.
Depuis ce 1er novembre Écouter le monde est diffusée chaque vendredi dans l'émission 8 milliards de voisins.
Tout à la fois chronique de radio diffusée sur RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures du monde à travers des sons du quotidien. Des centaines d’émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.
Cet épisode a été réalisé avec les contributions sonores de : Olivier Féraud au Likir, Xavier Gibert à Paris, Monica Fantini à Dakar.
Équipe de production
Conception, écriture, montage, mixage : Monica Fantini
Prise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
Écouter Le monde sur
« Nous sommes une aventure, nous sommes des êtres humains qui cherchent à reconstruire ce qu’un être humain doit être », disent les animateurs de Radio Citron. Créée en 2010, Radio Citron est une webradio réalisée et animée par des patients en soin psychiatriques. Tisser des liens avec des autres et déconstruire l’image négative qui stigmatise les personnes qui souffrent de handicaps psychiques, telles sont les raisons d’être de la si créative Radio Citron. Portrait sonore d’une radio inouïe par ses animateurs.
Radio Citron s’est inspirée de « La Colifata », radio créée il y a plus de trente ans à l’hôpital psychiatrique de Buenos Aires. Elle propose des émissions en public dans des lieux bien ancrés dans la ville de Paris. Tous les programmes ainsi que les lieux des prochains enregistrements de Radio Citron sont à retrouver ici.
Tout à la fois émission de radio diffusée sur RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures du monde à travers des sons du quotidien. Des centaines d’émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.
Auteure et coordinatrice d’Écouter le monde, Monica Fantini compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise ou encore récits d'écoutes de personnes de langues, de milieux et d’âges différents… Autant d’éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs.
De leur collecte à la création d’œuvres sonores et à leur diffusion, Monica Fantini sollicite la collaboration d’artistes, de chercheurs, compositeurs, journalistes et écrivains, afin de fédérer une large communauté et de mettre en commun expériences et savoirs dans différentes approches du son. Avec l’ambition de développer la pratique, le sens et le plaisir de l’écoute, elle dirige aussi des ateliers sonores s’adressant à tous les publics : enseignants, enfants, étudiants, migrants, détenus, poètes, musiciens… Enfin, les créations sonores d’Écouter le monde font régulièrement l’objet de présentations publiques dans le cadre de festivals, d’expositions, de colloques et d’événements culturels dédiés.
► Prise de son, montage et mixage : Monica Fantini
► Aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création – RFI
La ville de Madrid frémit des voix des marchés aux puces du Rastro, des vendeurs ambulants dans leurs camionnettes, des piaillements des enfants dans les jardins publics, des cris à l’unisson des aficionado au stade Vicente-Calderón un soir de match... Polyphonies urbaines de la capitale espagnole.
Les captations sonores de cet épisode ont été enregistrées par Déborah Gros, rédactrice et autrice pour Le français facile avec RFI et contributrice d’Écouter le monde.
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Auteure et coordinatrice d’Écouter le monde, Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise, voix de poètes… Autant d’éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs.
► Montage, mixage, : Monica Fantini
► Prise de son et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création – RFI
Qu'est-ce que la voix ? De l’air audible, le véhicule de nos pensées et émotions, un instrument de musique ? Pendant plus de trente le « Laboratoire de la voix » à Paris, fondé par le docteur Fresnel, a réuni plusieurs spécialistes de ce son unique. Éclats de voix sur la voix.
Merci à ceux qui ont prêté leur voix pour cet épisode : Elizabeth Fresnel (phoniatre et fondatrice du Laboratoire de la voix) Véronique Pinna (orthophoniste) et Raphaël Sikorski (coach vocal).
Tout à la fois émission de radio diffusée sur RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures du monde à travers des sons du quotidien. Des centaines d’émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.
Auteure et coordinatrice d’Écouter le monde, Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise, voix de poètes… Autant d’éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs.
« Mon corps est fait du bruit des autres », disait l’homme de théâtre Antoine Vitez, mais de quoi sont faits ces bruits ? Comment façonnent-ils la vie quotidienne ? Entrez dans les bruits de Viseu, au Portugal, de l’aube à la nuit.
Cet épisode a été réalisé avec BINAURAL/NODAR, une association dédiée à la recherche sonore et aux résidences d’artistes dans les régions rurales du Portugal, fondée par Luis Costa, contributeur de la plateforme numérique Écouter le monde.
Écouter le monde est une plateforme participative de création sonore dédiée à l’écoute. Elle a pour vocation de raconter le monde par le son.
Quelle est la bande sonore de la vie quotidienne de la capitale du Vietnam ? À 5h du matin, au bord des rizières, les hauts parleurs diffusent la radio nationale. L’après-midi au centre-ville, le trafic est fort bruyant, tandis qu’au détour d’une ruelle, deux voix de vendeurs ambulants s’entrelacent seules. La nuit tombante, au Têt, la fête la plus populaire du calendrier vietnamien, le spectacle pyrotechnique commence. Traversée sonore de Hanoï, de l’aube à la nuit.
Les captations sonores de cet épisode ont été réalisées à Hanoï par l'ingénieur du son et réalisateur Arnaud Soulier.
À la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d’information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d’émissions sont à écouter en podcast sur ce site, tandis que la plateforme participative et évolutive propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.
Auteure et coordinatrice d’ Écouter le monde, Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise, voix de poètes… Autant d’éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs.
De leur collecte à la création d’œuvres sonores et à leur diffusion, Monica Fantini sollicite la collaboration d’artistes, de chercheurs, de compositeurs, journalistes et écrivains, afin de fédérer une large communauté et de mettre en commun expériences et savoirs dans différentes approches du son. Avec l’ambition de développer la pratique, le sens et le plaisir de l’écoute, elle dirige aussi des ateliers sonores s’adressant à tous les publics : enseignants, enfants, étudiants, migrants, détenus, poètes, musiciens… Enfin, les créations sonores d’Écouter le monde font régulièrement l’objet de présentations publiques dans le cadre de festivals, d’expositions, de colloques et d’événements culturels dédiés, imaginés par les auteurs de la plateforme. Tous les ans, la Bibliothèque nationale de France laisse ainsi carte blanche à Monica Fantini autour d’Écouter le monde.
► Prise de son : Arnaud Soulier
► Montage, mixage, : Monica Fantini
► Aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création – RFI
Quels sons nous manquent ? S’agit-il toujours de sons lointains ou perdus ? Et comment hantent-ils nos esprits pour investir le présent et le quotidien ? Au fil d’entretiens croisés, de textes écrits, dits ou chantés ou de lecture de poèmes, avec six détenus du Centre pénitentiaire de Marseille, nous avons composé le quatrième épisode de la série « Sons migrateurs ».
Sons migrateurs – « Vivre avec ce qui manque » a été réalisé dans le cadre d’ateliers de création sonore avec six détenus, dirigés par Monica Fantini et Joseph Césarini, cofondateur de « Lieux Fictifs », en mars 2022 au Studio Image et mouvement du Centre pénitentiaire de Marseille.
Merci aux participants : Cheikna, Mustapha, Raphaël, Sébastien, Tourquie, Walid.
La série « Sons migrateurs » : des cartes postales diffusées à la radio et au musée
Invitée par la philosophe, philologue et académicienne Barbara Cassin, commissaire de l’exposition « Objets migrateurs » et en écho à son propos, Monica Fantini propose la série « Sons migrateurs ». Elle se compose de sons et de poèmes du monde, ainsi que de réflexions collectives d’habitants de Marseille autour des sens du mot « migration ».
Réalisée dans le cadre d’ateliers de création sonore dirigés par Monica Fantini en mars 2022, en collaboration avec le Centre international de poésie Marseille, le collège Vieux-Port (19 élèves dont des primo-arrivants) et « Lieux Fictifs », structure de production audiovisuelle au Centre pénitentiaire de Marseille (6 détenus, entre 20 et 40 ans), la série de quatre cartes postales sonores a été illustrée par les élèves de l’École Supérieure des Arts graphiques Estienne à Paris.
Diffusées à la radio, en podcast et au musée, les cartes postales sonores et visuelles, sont également imprimées sur papier, dotées d’un QR code et présentées à l’exposition « Objets migrateurs », au Centre de la Vieille Charité à Marseille d’avril à octobre 2022. Chaque visiteur se voit remettre à son arrivée une des quatre cartes postales exclusives de RFI « Sons migrateurs ».
Les ateliers « Sons migrateurs » : des poèmes et des sons du monde
A partir de poèmes en français et en d’autres langues, sélectionnés par Giulia Camin, responsable de la bibliothèque de poésie contemporaine au Cipm (Centre international de poésie Marseille), et de centaines de sons édités et publiés sur « La carte des sons » de la plateforme participative d’« Ecouter le monde », Monica Fantini a dirigé des ateliers de création sonore et visuelle.
Lectures, séances d’écoute et d’écriture collective, entretiens croisés de participants, réflexions partagées autour du thème de l’écoute et de la migration… : autant de fragments sonores, poétiques et intimes qui ont été recomposés, pour tisser quatre cartes postales sonores sur le thème de la migration.
Entendues et interprétées visuellement par les étudiants de première année de l’École Supérieure des Arts graphiques Estienne à Paris, dans le cadre d'ateliers codirigés avec les professeurs Florence Jamet et David Gelot, les émissions radiophoniques ont donné lieu à des cartes postales sonores composées d’une image et d’un son.
Équipe de production
Conception, montage, mixage : Monica Fantini
Prise de son de la voix : Joseph Césarini – Lieux Fictifs
Aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création – RFI
Cet épisode e été réalisé en collaboration avec Lieux Fictifs, structure soutenue par les Ministères de la Justice et de la Culture, le FIPD, le Conseil régional Sud Provence-Alpes-Côte d'Azur, le Conseil départemental des Bouches-du-Rhône, la Ville de Marseille et la Fondation de France.
Du ronronnement du bus au silence des étoiles, de la clameur du jour au calme de la nuit, les sons migrateurs se faufilent, de la tête aux pieds, et du rêve à la réalité. Avec les enfants du collège du Vieux-Port à Marseille, nous avons partagé des réminiscences, des réflexions, des poèmes et des sons. En jouant de nos voix dans différentes langues, nous avons composé le troisième épisode de la série « Sons migrateurs ».
Sons migrateurs – « Le bus qui s’envole jusqu’à Vénus » a été réalisé dans le cadre d’ateliers de création sonore dirigés par Monica Fantini en mars 2022 avec la classe 6e1 du collège Vieux Port à Marseille.
Merci aux participants : Les élèves de la 6e1 Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine et leurs professeurs.
La série « Sons migrateurs » : des cartes postales diffusées à la radio et au musée
Invitée par la philosophe, philologue et académicienne Barbara Cassin, commissaire de l’exposition « Objets migrateurs » et en écho à son propos, Monica Fantini propose la série « Sons migrateurs ». Elle se compose de sons et de poèmes du monde, ainsi que de réflexions collectives d’habitants de Marseille autour des sens du mot « migration ».
Réalisée dans le cadre d’ateliers de création sonore dirigés par Monica Fantini en mars 2022, en collaboration avec le Centre international de poésie Marseille, le collège Vieux-Port (19 élèves dont des primo-arrivants) et « Lieux Fictifs », structure de production audiovisuelle au Centre pénitentiaire de Marseille (6 détenus, entre 20 et 40 ans), la série de quatre cartes postales sonores a été illustrée par les élèves de l’École Supérieure des Arts graphiques Estienne à Paris.
Diffusées à la radio, en podcast et au musée, les cartes postales sonores et visuelles, sont également imprimées sur papier, dotées d’un QR code et présentées à l’exposition « Objets migrateurs », au Centre de la Vieille Charité à Marseille d’avril à octobre 2022. Chaque visiteur se voit remettre à son arrivée une des quatre cartes postales exclusives de RFI « Sons migrateurs ».
Les ateliers « Sons migrateurs » : des poèmes et des sons du monde
A partir de poèmes en français et en d’autres langues, sélectionnés par Giulia Camin, responsable de la bibliothèque de poésie contemporaine au Cipm (Centre international de poésie Marseille), et de centaines de sons édités et publiés sur « La carte des sons » de la plateforme participative d’« Ecouter le monde », Monica Fantini a dirigé des ateliers de création sonore et visuelle.
Lectures, séances d’écoute et d’écriture collective, entretiens croisés de participants, réflexions partagées autour du thème de l’écoute et de la migration… : autant de fragments sonores, poétiques et intimes qui ont été recomposés, pour tisser quatre cartes postales sonores sur le thème de la migration.
Entendues et interprétées visuellement par les étudiants de première année de l’École Supérieure des Arts graphiques Estienne à Paris, dans le cadre d'ateliers codirigés avec les professeurs Florence Jamet et David Gelot, les émissions radiophoniques ont donné lieu à des cartes postales sonores composées d’une image et d’un son.
Équipe de production
Conception, montage, mixage, prise de son : Monica Fantini
Aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création – RFI
Comment les voix d’Alger, de Paris ou de Moroni aux Comores résonnent-elles dans les rues de Marseille ? Quels sons nous animent ou nous apaisent ? Les sons migrateurs se croisent dans une foisonnante polyphonie… Avec les enfants du collège Vieux-Port à Marseille, nous avons partagé des réminiscences, des réflexions, des poèmes et des sons. En jouant de nos voix dans différentes langues, nous avons composé le deuxième épisode de la série « Sons migrateurs ».
Sons migrateurs – « Les bruits du pays de mes parents » a été réalisé dans le cadre d’ateliers de création sonore dirigés par Monica Fantini en mars 2022 avec la classe 6e1 du collège Vieux-Port à Marseille.
Merci aux participants : Les élèves de la 6e1 Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine et leurs professeurs.
La série « Sons migrateurs » : des cartes postales diffusées à la radio et au musée
Invitée par la philosophe, philologue et académicienne Barbara Cassin, commissaire de l’exposition « Objets migrateurs » et en écho à son propos, Monica Fantini propose la série « Sons migrateurs ». Elle se compose de sons et de poèmes du monde, ainsi que de réflexions collectives d’habitants de Marseille autour des sens du mot « migration ».
Réalisée dans le cadre d’ateliers de création sonore dirigés par Monica Fantini en mars 2022, en collaboration avec le Centre international de poésie Marseille, le collège Vieux-Port (19 élèves dont des primo-arrivants) et « Lieux Fictifs », structure de production audiovisuelle au Centre pénitentiaire de Marseille (6 détenus, entre 20 et 40 ans), la série de quatre cartes postales sonores a été illustrée par les élèves de l’École Supérieure des Arts graphiques Estienne à Paris.
Diffusées à la radio, en podcast et au musée, les cartes postales sonores et visuelles, sont également imprimées sur papier, dotées d’un QR code et présentées à l’exposition « Objets migrateurs », au Centre de la Vieille Charité à Marseille d’avril à octobre 2022.
Les ateliers « Sons migrateurs » : des poèmes et des sons du monde
À partir de poèmes en français et en d’autres langues, sélectionnés par Giulia Camin, responsable de la bibliothèque de poésie contemporaine au Cipm (Centre international de poésie Marseille), et de centaines de sons édités et publiés sur « La carte des sons » de la plateforme participative d’« Écouter le monde », Monica Fantini a dirigé des ateliers de création sonore et visuelle.
Lectures, séances d’écoute et d’écriture collective, entretiens croisés de participants, réflexions partagées autour du thème de l’écoute et de la migration… : autant de fragments sonores, poétiques et intimes qui ont été recomposés, pour tisser quatre cartes postales sonores sur le thème de la migration.
Entendues et interprétées visuellement par les étudiants de première année de l’École Supérieure des Arts graphiques Estienne à Paris, dans le cadre d'ateliers codirigés avec les professeurs Florence Jamet et David Gelot, les émissions radiophoniques ont donné lieu à des cartes postales sonores composées d’une image et d’un son.
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