Dans cet épisode spécial qui marque la poursuite du projet au-delà des 52 épisodes promis, Michaël Bédard est seul au micro, à près d’une demi-heure du début de l’année 2020, sans se douter de ce qui nous attendait tous dans cette année fatidique

Dans un épisode enregistré à la fin de l’année 2019, Michaël Bédard boucle la boucle en recevant François Munger avec qui il avait débuté ce projet. Ensemble, ils reviennent amplement sur ce qui est inévitablement amené à changer.

À l’aube de la pandémie, Michaël Bédard rencontre Jolann Rochefort, intervenante au CALACS, qui éduque sur la sexualité, tant chez les jeunes que chez les plus vieux. Dans un épisode touchant, ils abordent ensemble des sujets plus tabous, justement dans le but de les décloisonner.

Dans une discussion enrichie par la différence d’âge qui est de près de 40 ans, Michaël Bédard assiste à une conversation entre Linda Poirier, sa mère, et Alicia Vachon, son amie, qui échangent sur ce qu’est d’être une femme, sexuellement, corporellement et amoureusement, à 20 versus à presque 60 ans.

De par un concept d’inversion, Michaël Bédard reçoit François Munger pour un épisode où ils reviennent sur une discussion enregistrée en décembre dernier qui paraîtra plus tard. Ensemble, ils constatent tous les changements engendrés par la venue de 2020.

Fort d’une amitié retrouvée, Michaël Bédard accueille Annie Roussel, mieux connu sous le nom de Carambole au vent. Tous deux auteurs, ils échangent sur l’écriture, mais aussi sur la sexualité, l’alcool et le rock n’roll.

Michaël Bédard reçoit les coéquipiers de son équipe d'Improvisation, La Gourmandine, Nadyne Lambert, Mathieu Higgins et Pier-Anthony Breton. Tous connus des auditeurs du podcast, ils soupent ensemble avant le premier match de la saison régulière de LALIBABA. Ensemble, ils donnent des nouvelles, mais s'ouvrent aussi sur l'importance de l'impro dans leur vie, sur les attentes qu'ils ont tant au niveau de la patinoire que de la camaraderie et sur les aléas d'être membres d'une ligue régionale. 

Michaël Bédard accueille son vieil ami radiophonique en Pierre-Marc Babin, présent dans l'épisode précédent comme spectateur. Rencontré au CEGEP, le petit gars de la Gaspésie vient donner son opinion sur le monde de la radio, son avenir et ses plans en lien avec ce medium qui le passionne depuis sa tendre jeunesse. Dans une complicité évidente, ils chérissent une amitié renouvelée qu'ils croyaient avoir perdue. À mi-chemin du podcast, un invité surprise, connu des auditeurs de 365 jours de peine d'amour - Le Podcast, fait une apparition.

À Montréal, Michaël Bédard, originaire d'Amos, reçoit André-Louis Noël, du même endroit. Expatrié, il explique les raisons de son départ et l'effet que la ville a sur lui et son identité. Dans un épisode complètement décomplexé, ils passent ensemble du rire à l'émotion en revenant sur leur jeunesse, sur leurs différences et sur l'impact que la vie en région peut avoir sur les être plus marginaux.

Toujours du côté de Montréal, Michaël Bédard s'invite chez Katerine IS dans un épisode extrêmement touchant où elle raconte l'épopée qui l'a menée jusqu'à la maternité alors qu'elle était dans sa dernière année d'université. De là découle des discussions sur son rôle de mère, sur la place de celui-ci non seulement dans sa carrière artistique, mais sur sa contribution à la société. Dans un beau moment, elle nous livre l'un de ces textes écrits quelques mois auparavant.

Expatrié à Montréal, Michaël Bédard rend visite à une amie, collègue et ancienne camarade de classe, Marianne Lamarche. Après plusieurs mois sans se voir, ils se retrouvent pour discuter du métier d'acteur. Que ce soit en questionnant les auditions, le rapport à beauté ou les réseaux sociaux comme mode de représentation, ils s'interrogent sur l'avenir en passant par le passé et le présent. Quelque part dans l'épisode, la situation familiale particulière de Marianne mène à une discussion sur l'environnement et sur l'ouverture.